40 ans de collection de Panhard et Citroën en vente à Vienne
par Magazine des enchères
La collection de Jean-Louis Géraud, un passionné d’automobile très connu dans le milieu Panhard, sera vendue aux enchères le 20 juillet à Vienne en Isère. Constituée durant 40 ans, elle comprend de nombreux modèles Panhard, mais aussi des Citroën peu kilométrées et quelques autres raretés.
La marque Panhard a joué un rôle particulier dans l’histoire de l’automobile française puisqu’elle fut la première à lancer la production en série de véhicules à moteur à explosion. Marque de luxe jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, elle s’est reconvertie ensuite dans la production d’originales voitures populaires. Malgré la cessation de son activité en 1967, elle réunit encore aujourd’hui une communauté de passionnés, à l’instar de Jean-Louis Géraud qui a constitué pendant 40 ans une collection exceptionnelle qui sera dispersée aux enchères le 20 juillet par le commissaire-priseur Jérôme Duvillard à Vienne. « Ce bâtisseur et charpentier métallique renommé est un amant de cœur des automobiles, détaille le commissaire-priseur du Quai des enchères. Au fil des années, c’est plus de 130 véhicules qu’il a accumulés dans un véritable garage à l’ambiance Mécano inimitable et dédié à leur entretien. Une marque française l’a peut-être séduit plus que les autres : Panhard Levassor. En effet, non seulement Jean-Louis Géraud fut l’un des trois co-fondateur du premier club Panhard Français en 1982, mais surtout, au sein de cette intéressante collection se trouvent vingt-quatre spécimen de cette assez rare marque française, dont une superbe coupé Charles Deutsch, une Dyna n’ayant que 5000 km d’origine ou bien encore une véhicule ayant appartenu à la fille de M. ingénieur Panhard. »
Des sportives recherchées et de rares cabriolets Panhard
La collection comprend des sportives recherchées en état concours, telle qu’une CD Panhard . Celle-ci a marqué les esprits par son aérodynamique supérieure à bien des voitures modernes avec son Cx de 0,19 qui lui a permis de briller aux 24 Heures du Mans dès 1962. Ce beau coupé à carrosserie en fibre de verre, produit à seulement 161 unités, est estimé entre 50 000 et 80 000 euros. Trois rares cabriolets dotés du célèbre bicylindre Panhard font également partie de la vente : un cabriolet Sera SPN5 de 1960, l’un des quatre exemplaires connus (25 000 – 30 000 euros), un DB Le Mans 850 Cabriolet de 1961 (12 000 – 15 000 euros) et une Junior de 1955 dotée de nombreux accessoires d’époque (15 000 – 20 000 euros). La collection comprend également de nombreux modèles diffusés à plus grande échelle, pour la plupart endormis depuis de nombreuses années : quatre Dyna « Louis XV », dont un cabriolet et un break, ainsi que six PL17, dont un break et trois Dyna Z.
Estimé 50 000 € - 80 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : PANHARD LEVASSOR Dyna CD pour Charles Deutsch
n° série : 142, (162 exemplaires construit, 161 vendus dans le commerce), 1ere équipe gagnant les 24H du MANS en 1962 (N°53)
Couleur : GRIS METALLISE
remarques sur l'état : Très bon état
Immatriculation : 796 CDB 38
avec carte grise
La première apparition de la nouvelle Panhard CD se fait aux 24h du Mans en 1962. Trois voitures prennent le départ avec une carrosserie alu particulièrement profilée et évidemment un bicylindre vendu du Quai d’Ivry de 702 cm³. Si la meilleur n’est « que » 16e à l’arrivée, elle remporte tout de même sa catégorie des moins de 850 cm³ !
Au salon de Paris l’automne suivant débarque sa version routière. La carrosserie plus routière est cette fois réalisée en fibre de verre, chez Chappe et Gessalin, alors la référence nationale. Très étudiée, elle affiche un Cx de 0,19!
Le moteur est plus gros, c’est toujours le bicylindre mais il cube 848 cm³ et sort 60ch SAE et il est accolé à une boîte à 4 vitesses. Avec la finesse de l’auto et le poids à vide de 580 kg on se retrouve avec une puce filant à 160 km/h ! »
Produite à 161 exemplaires pour le marché seulement, notre exemplaire porte le numéro 142 !
Sources : newsdanciennes.com Voir le lot
Estimé 15 000 € - 20 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : PANHARD LEVASSOR TYPE X87, Junior, Cabriolet
n° série : 85787
5CV,
Couleur : ROUGE
remarques sur l'état : Très bon état, intérieur refait
Immatriculation : 6742 XR 38
DMC : 00/00/1955
Avec sa carte grise
« Jamais tant ne fut fait et donné avec si peu… » : cette parodie de la célèbre phrase de Churchill résume parfaitement la philosophie du Junior Panhard.
Le Junior n’est rien d’autre qu’une voiture conçue pour les jeunes et… « ceux qui savent le rester ! »
Présenté au salon d’octobre 1951, le Junior enrichit la gamme Panhard de 1952.
Pour respecter la philosophie évoquée plus haut, il est annoncé à 549.000 F, moins cher que la berline et que les modèles sportifs présents sur le marché.
Etabli à partir du prototype rudimentaire Di Rosa, le Junior reçoit d’abord un pare-brise rabattable avant d’être équipé d’un pare-brise fixe en trois parties au printemps 1952.
Animé par un moteur de 745cc Sprint de 4cv fiscaux, le Junior dispose de 38 ch à 5.000 t/m.
Carburateur double corps Solex 30 PAAI, même taux de compression de 7,5 à 1 que les berlines X86 et X86 Sprint.
La vitesse est donnée pour 130 km/h.
Empattement voies identiques à ceux de la berline Dyna, mais longueur = 370 cm, largeur = 140 cm et hauteur = 128 cm avec capote fermée.
Poids = 635 kg soit 55 kg de plus que la berline.
En 1953, le Junior bénéficie du nouveau moteur 130 de 850 cc donnant 40 cv puis 42 au cours de l’année.
Elle hérité également, vers la fin de l’année, d’une nouvelle calandre.
Elle évoluera encore par de menus détails : pare-chocs, feux arrière, tableau de bord… Jusqu’en 1956 où il ne sera fabriqué que sur commande.
Source : Panhard-racing-team.fr Voir le lot
Estimé 25 000 € - 30 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : SERA SPN5 cabriolet,
49826 km
moteur PANHARD 848 cm3,
n° série : 126
année 1959-1960 carrosserie en fibre de verre,
4 exemplaires connus en France
Couleur : ROUGE
remarques sur l'état : ORIGINE,
tournante, état bon, sièges refaits, seulement 4 exemplaires connus
Immatriculation : 171 BBT 38
DMC : 28/12/1960
Avec sa carte grise Voir le lot
Estimé 12 000 € - 15 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : DEUTSCH BONNET LE MANS 850 cabriolet,
18593 km
n° série 5018
Couleur : ROUGE
remarques sur l'état : Origine + (quelques petites marques sur la carrosserie), à redémarrer Immatriculation : 30 DBE 38
DMC : 15/02/1961
Avec sa carte grise Voir le lot
Estimé 6 000 € - 12 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : PANHARD LEVASSOR PL17 L4
n° série : 2078485 ,
chassis : 50390,
sellerie simili cuir camel
Couleur : rouge carmin
remarques sur l'état : Parfait état, en instance remontage carburateur, sera tournante, Immatriculation : CM 843 ST
DMC : 01/01/1961
Avec sa carte grise
Panhard pl17 l6
1963-1965
Présentée le 29 juin 1959, la Panhard PL17 vient remplacer la Dyna Z. Elle n'est qu'une évolution de la Dyna Z, ses lignes ayant seulement été remises à jour. Autour de la cellule de sa devancière, Bionier va donc dessiner une nouvelle voiture, plutot une évolution, tant la ressemblance avec la Dyna Z est significative. La PL17 porte ce nom en référence aux initiales des fondateurs de la marque, un P pour Panhard et un L pour Levassor. Le chiffre 17 est l'addition de 5CV + 6 places + 6 litres au 100.
La production s'étendra de juin 59 à mai 65 pour un total d'un peu plus de 166 000 exemplaires. Voiture originale par sa motorisation et son dessin très aérodynamique pour l'époque, la PL 17 a connue un succès honorable, malheureusement affaibli par le rachat de la marque par Citroën. On notera que comme ses devancières Dyna X et Dyna Z, la moteur de la 17 (nom commercial à partir de 64 pour unification avec la 24) a servi pour nombre de voitures de sport artisanales.
(1961. L'année est marquée par la victoire de la PL 17 dans sa catégorie au Rallye Monte-Carlo)
Panhard proposera plusieurs versions de sa PL 17. Il existera donc un cabriolet, un break, une fourgonnette tôlée, une fourgonnette vitrée et un plateau bâché. Deux motorisations étant disponibles la "normale" et la "Tigre" (voir caractéristiques techniques). Panhard, tout comme Simca à la même époque, propose un nombre important, et changeant tout les ans, d'associations de couleur de carrosserie et de garniture intérieure. Voir le lot
Estimé 1 500 € - 3 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : PANHARD LEVASSOR PL17 L1 5 cv,
93198 km au compteur
carrosserie tôle, n° chassis : 20379 n° série : 2019556
Couleur : Lilas
remarques sur l'état : A restaurer
Immatriculation : 5433 UE 38
Panhard pl17 l6
1963-1965
Présentée le 29 juin 1959, la Panhard PL17 vient remplacer la Dyna Z. Elle n'est qu'une évolution de la Dyna Z, ses lignes ayant seulement été remises à jour. Autour de la cellule de sa devancière, Bionier va donc dessiner une nouvelle voiture, plutot une évolution, tant la ressemblance avec la Dyna Z est significative. La PL17 porte ce nom en référence aux initiales des fondateurs de la marque, un P pour Panhard et un L pour Levassor. Le chiffre 17 est l'addition de 5CV + 6 places + 6 litres au 100.
La production s'étendra de juin 59 à mai 65 pour un total d'un peu plus de 166 000 exemplaires. Voiture originale par sa motorisation et son dessin très aérodynamique pour l'époque, la PL 17 a connue un succès honorable, malheureusement affaibli par le rachat de la marque par Citroën. On notera que comme ses devancières Dyna X et Dyna Z, la moteur de la 17 (nom commercial à partir de 64 pour unification avec la 24) a servi pour nombre de voitures de sport artisanales.
(1961. L'année est marquée par la victoire de la PL 17 dans sa catégorie au Rallye Monte-Carlo)
Panhard proposera plusieurs versions de sa PL 17. Il existera donc un cabriolet, un break, une fourgonnette tôlée, une fourgonnette vitrée et un plateau bâché. Deux motorisations étant disponibles la "normale" et la "Tigre" (voir caractéristiques techniques). Panhard, tout comme Simca à la même époque, propose un nombre important, et changeant tout les ans, d'associations de couleur de carrosserie et de garniture intérieure. Voir le lot
Estimé 1 500 € - 3 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : PANHARD LEVASSOR PL17 L9 Break
61557 km au compteur
5 cv,
n° série : 2116090, n° chassis : 01074B
Couleur : Blanc
remarques sur l'état : état d'origine, à redémarrer
Immatriculation : 665 JP 39
Panhard pl17 l6
1963-1965
Présentée le 29 juin 1959, la Panhard PL17 vient remplacer la Dyna Z. Elle n'est qu'une évolution de la Dyna Z, ses lignes ayant seulement été remises à jour. Autour de la cellule de sa devancière, Bionier va donc dessiner une nouvelle voiture, plutot une évolution, tant la ressemblance avec la Dyna Z est significative. La PL17 porte ce nom en référence aux initiales des fondateurs de la marque, un P pour Panhard et un L pour Levassor. Le chiffre 17 est l'addition de 5CV + 6 places + 6 litres au 100.
La production s'étendra de juin 59 à mai 65 pour un total d'un peu plus de 166 000 exemplaires. Voiture originale par sa motorisation et son dessin très aérodynamique pour l'époque, la PL 17 a connue un succès honorable, malheureusement affaibli par le rachat de la marque par Citroën. On notera que comme ses devancières Dyna X et Dyna Z, la moteur de la 17 (nom commercial à partir de 64 pour unification avec la 24) a servi pour nombre de voitures de sport artisanales.
(1961. L'année est marquée par la victoire de la PL 17 dans sa catégorie au Rallye Monte-Carlo)
Panhard proposera plusieurs versions de sa PL 17. Il existera donc un cabriolet, un break, une fourgonnette tôlée, une fourgonnette vitrée et un plateau bâché. Deux motorisations étant disponibles la "normale" et la "Tigre" (voir caractéristiques techniques). Panhard, tout comme Simca à la même époque, propose un nombre important, et changeant tout les ans, d'associations de couleur de carrosserie et de garniture intérieure. Voir le lot
Estimé 6 000 € - 8 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : PANHARD LEVASSOR PL17 L6
5 cv, n° châssis : 5888 n° série : 2155502,
véhicule quasiment historique car ayant appartenu à Anne de LAGARDE dont le père était ingénieur motoriste de PANHARD Couleur : BLEU COBALT
remarques sur l'état : Très bon état d'ORIGINE, à redémarrer
Immatriculation : 788AQF38
DMC : 13/11/1962
Avec sa carte grise
Panhard pl17 l6
1963-1965
Présentée le 29 juin 1959, la Panhard PL17 vient remplacer la Dyna Z. Elle n'est qu'une évolution de la Dyna Z, ses lignes ayant seulement été remises à jour. Autour de la cellule de sa devancière, Bionier va donc dessiner une nouvelle voiture, plutot une évolution, tant la ressemblance avec la Dyna Z est significative. La PL17 porte ce nom en référence aux initiales des fondateurs de la marque, un P pour Panhard et un L pour Levassor. Le chiffre 17 est l'addition de 5CV + 6 places + 6 litres au 100.
La production s'étendra de juin 59 à mai 65 pour un total d'un peu plus de 166 000 exemplaires. Voiture originale par sa motorisation et son dessin très aérodynamique pour l'époque, la PL 17 a connue un succès honorable, malheureusement affaibli par le rachat de la marque par Citroën. On notera que comme ses devancières Dyna X et Dyna Z, la moteur de la 17 (nom commercial à partir de 64 pour unification avec la 24) a servi pour nombre de voitures de sport artisanales.
(1961. L'année est marquée par la victoire de la PL 17 dans sa catégorie au Rallye Monte-Carlo)
Panhard proposera plusieurs versions de sa PL 17. Il existera donc un cabriolet, un break, une fourgonnette tôlée, une fourgonnette vitrée et un plateau bâché. Deux motorisations étant disponibles la "normale" et la "Tigre" (voir caractéristiques techniques). Panhard, tout comme Simca à la même époque, propose un nombre important, et changeant tout les ans, d'associations de couleur de carrosserie et de garniture intérieure. Voir le lot
Estimé 1 500 € - 3 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : PANHARD LEVASSOR PL 17 L6
96988 km au compteur
5 cv, carrosserie tôle, n° chassis : 13267 , n° série : 2201033
Couleur : Vert
remarques sur l'état : A restaurer
Immatriculation : 8034 SK 42
Panhard pl17 l6
1963-1965
Présentée le 29 juin 1959, la Panhard PL17 vient remplacer la Dyna Z. Elle n'est qu'une évolution de la Dyna Z, ses lignes ayant seulement été remises à jour. Autour de la cellule de sa devancière, Bionier va donc dessiner une nouvelle voiture, plutot une évolution, tant la ressemblance avec la Dyna Z est significative. La PL17 porte ce nom en référence aux initiales des fondateurs de la marque, un P pour Panhard et un L pour Levassor. Le chiffre 17 est l'addition de 5CV + 6 places + 6 litres au 100.
La production s'étendra de juin 59 à mai 65 pour un total d'un peu plus de 166 000 exemplaires. Voiture originale par sa motorisation et son dessin très aérodynamique pour l'époque, la PL 17 a connue un succès honorable, malheureusement affaibli par le rachat de la marque par Citroën. On notera que comme ses devancières Dyna X et Dyna Z, la moteur de la 17 (nom commercial à partir de 64 pour unification avec la 24) a servi pour nombre de voitures de sport artisanales.
(1961. L'année est marquée par la victoire de la PL 17 dans sa catégorie au Rallye Monte-Carlo)
Panhard proposera plusieurs versions de sa PL 17. Il existera donc un cabriolet, un break, une fourgonnette tôlée, une fourgonnette vitrée et un plateau bâché. Deux motorisations étant disponibles la "normale" et la "Tigre" (voir caractéristiques techniques). Panhard, tout comme Simca à la même époque, propose un nombre important, et changeant tout les ans, d'associations de couleur de carrosserie et de garniture intérieure. Voir le lot
2CV, DS/ID et Peugeot 402B
Jean-Louis Géraud s’intéressait également à la marque Citroën, qui a racheté… et tué Panhard. Les amateurs auront donc le choix parmi une impressionnante sélection de 2CV à restaurer, mais aussi des Dyane et Ami, dont une remarquable Ami 8 comptant seulement 27 592 km (3 000 – 4 000 euros). Citons aussi les six DS/ID, dont une magnifique CX 2000 dans un rare coloris Bleu Centauré (1 500 – 3 000 euros). Tous les modèles sont en état d’origine, non restaurés mais constituent pour la plupart d’excellentes bases.
Fort d’un goût assuré, Jean-Louis Géraud a été amené à sauver des modèles autrefois ignorés, mais aujourd’hui très recherchés comme une Fiat 127 , parmi les premières produites avec son coloris bleu ciel et sa malle (1 500 – 2 000 euros) ou encore deux sculpturales Lancia Gamma Coupé (2 000 – 4 000 euros). La vente intègre également un florilège d’automobiles atypiques, à l’instar d’une rarissime Peugeot 402B Légère Coach découvrable de 1938 (25 000 – 50 000 euros). En définitive, cette vente figure déjà au palmarès des sélections les plus atypiques de l’année 2023… « Avec cette collection, c’est une page qui se tourne dans l’histoire de la passion des automobiles de collection de Vienne, de l’Isère et même un peu de France, note Jérôme Duvillard. Nul doute que nouveaux chapitres sont à écrire par les amateurs qui se retrouveront sur place lors des visites publiques gratuites le 19 juillet de 10h à 18h. »
Enchérir | Suivez la vente des véhicules de la collection Jean-Louis Géraud le 20 juillet en live sur interencheres.com ou auction.fr
Estimé 25 000 € - 50 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : PEUGEOT 402 B LEGERE Coach découvrable
année 1938,
95059 km
chassis n° 795108,
Couleur : vert anglais
remarques sur l'état : choc arrière, parfait état, capote ok, parfaitement tournante
Immatriculation : 402 BMC 38
DMC : 28/02/1938
Avec sa carte grise Voir le lot
Estimé 15 000 € - 20 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : CITROEN 2CV DOLLY
24593 km d'origine
intérieur refait
Couleur : Vanille et gris
remarques sur l'état : état parfait
Immatriculation : 206CLL38
Avec sa carte grise
Après le succès de la Charleston, diffusée en série limitée en 1981 puis produite en série à partir de l’année suivante, Citroën récidive dans la 2CV au look rétro avec la Dolly.
Grâce aux séries spéciales qui permettent de redonner du lustre à moindre frais, les publicitaires bénéficiaient d’une parole efficace pour retarder l’inéluctable. Citroën demande donc à Serge Gevin une série spéciale aussi ludique que la Charleston, en plus simple à fabriquer. Ce sera la 2CV Dolly, une nouvelle version bicolore qui sera produite lors des années modèles 1985 et 1986 à plus de 5000 unités.
Cette série limitée est originale par sa composition : elle comporte en effet sept versions différentes réalisées en trois séries successives.
Mars 1985
Trois modèles bicolores sont proposés à la vente sous l’appellation « Dolly ». 3 000 exemplaires dont 1 500 pour la France, qui rencontreront un franc succès et 1 500 pour l’exportation (Italie, Autriche et Grande-Bretagne). La première série de 2CV Dolly est assez terne, le gris domine sur chaque version. La découpe entre les deux teintes diffère entre les trois combinaisons. De plus, sur les deux modèles, deux passages en peintures sont requis, ce qui est coûteux et compliqué à réaliser.
Réalisée sur la base de la 2CV 6 Spécial, les Dolly de cette série comprennent en fait trois modèles différant par leur robe bicolore. Les combinaisons de teintes disponibles sont Gris Cormoran EVP / Rouge Vallelunga EKB, Blanc Meije EWT / Gris Cormoran EVP avec des filets jaune et noir par rapport à la ceinture de caisse, ainsi que Jaune Rialto EAA / Gris cormoran EVP. Les sièges sont ceux de la 2 CV 6 Charleston en tissu gris à motifs en losange, ils ont une partie en simili à l’arrière des dossiers avant.
(source : 2cv-legende.com) Voir le lot
Estimé 10 000 € - 12 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : CITROEN 2CV AZ année 1955
n° série
intérieur refait à neuf, capote neuve,
Couleur : Gris
remarques sur l'état : Bon état général, freins à revoir
Immatriculation : 7719SX38
Avec sa carte grise
La Citroën 2 CV est produite par Citroën entre le 7 octobre 1948 et le 26 juillet 1990. Avec un peu plus de 5,1 millions d'exemplaires, elle fait partie des dix voitures françaises les plus vendues de l'histoire.
En 1937, Pierre Boulanger a l'idée de créer une voiture destinée aux classes sociales du monde rural et à faibles revenus, le souci premier étant de permettre à la maison mère Michelin d'accroître son activité de pneumatiques.
Boulanger écrit le cahier des charges précis et draconien, définissant le projet « TPV » (« toute petite voiture ») : avec quatre places assises, 50 kg de bagages transportables, 2 CV fiscaux, traction avant, 60 km/h en vitesse de pointe, boîte à trois vitesses, facile d'entretien, et ne consommant que 3 litres aux 100 kilomètres. Elle doit pouvoir être conduite facilement par un débutant. Et surtout, aucun signe ostentatoire. Le slogan publicitaire « 4 roues sous 1 parapluie » de la fin des années 1960, résume assez bien l'esprit général de ce que le patron attendait.
En 1949, juste avant l'ouverture du salon de Paris, un exemplaire est présenté au service des Mines et désigné « Type A » (comme la TPV en 1939). La production de la 2 CV type A peut commencer alors, avec un modèle unique et une seule couleur disponible. Elle est vendue sans serrure de portes : le dispositif d'antivol proposé étant celui adopté sur les bicyclettes, pris entre le volant et la barre centrale du siège avant. Les seuls instruments du tableau de bord sont un tachymètre et un ampèremètre, ce dernier étant nécessaire au vu des faibles capacités des batteries 6 V de l'époque.
En 1954, les dirigeants de Citroën, incités par des clients désireux d'avoir une voiture plus rapide et plus puissante, décident de faire évoluer la 2 CV, avec la « Type AZ » équipée d'un nouveau moteur issu de celui de la Type A, mais ré-alésé à 425 cm3. Il développe 12 ch SAE initialement, ce qui permet d'atteindre les 70 km/h. La nouvelle 2 CV est équipée de série d'un embrayage centrifuge, qui permet de ne pas avoir à débrayer et de s'arrêter sans caler dans les encombrements. La fourgonnette « Type AZU » sort en même temps avec les mêmes améliorations par rapport au Type AU, mais sans embrayage centrifuge : ce système déclaré pratique en ville pouvant devenir gênant à la campagne, car le débrayage se produit automatiquement dès que le moteur revient au ralenti, donc pas de frein moteur par exemple dans une descente, où il faut accélérer pour que l'embrayage centrifuge se reconnecte. Les 2 CV Type A continuent à être commercialisées.
(source WIKIPEDIA) Voir le lot
Estimé 8 000 € - 12 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : CITROEN 2CV carrosserie transformée cabriolet Azelle
Couleur : bleu roi
Sièges Recaro
remarques sur l'état : état très bon
Immatriculation : 220 AEM 38
Avec sa carte grise Voir le lot
Estimé 3 000 € - 4 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : CITROEN DYANE
67132 km
Couleur : Bleu cobalt
remarques sur l'état : petits enfoncements de carrosserie, intérieur propre, à démarrer Immatriculation : 782PS58
Avec sa carte grise
DYANE
En 1964, Citroën cherche à rebondir car les chiffres de vente de la 2 CV sont en baisse à cause de la rivale, la Renault 4 ; elle est en effet plus puissante, aussi facile à prendre en main que la deuche et a l’avantage de fournir une cinquième porte. Le cahier des charges, dressé par M. Bercot, était d’équiper le modèle d’un hayon, de limiter la puissance fiscale à 2 chevaux fiscaux (même si la 4L en avait 4), de fabriquer à moindre coût en réutilisant de nombreuses pièces issues de la 2 CV et de l’Ami 6 et d’utiliser les chaînes de montage de la 2 CV.
Citroën missionna finalement Jacques Charreton, on lui doit le nez et la proue caractéristiques de la nouvelle Citroën Dyane. Concernant les optiques, et pour des raisons d’économie, la Dyane se pare de projecteurs ronds avec enjoliveur carré.
Côté moteur, la première Dyane (type AYA) est équipée d’un 425 cm³, celui de la 2CV. Le deuxième modèle, la D6 (AYA 3) à moteur 602 cm³ 3 CV fiscaux de l’Ami 6 sort en 1968.
Cette appellation provient directement des archives Panhard que Citroën a racheté récemment. Panhard a déposé, à côté des marques « Dyna », « Dynavia » et autres « Dynamic », le nom Dyane. L’Acadiane quant à elle est la version fourgonnette de la Dyane qui perd donc sont Y, sauf en Espagne où elle s’appelle Dyane 400. Voir le lot
Estimé 1 500 € - 3 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : CITROEN CX 2000
2 Litre
72750 km
Couleur : Bleu lilas métallisé
remarques sur l'état : intérieur ok, carrosserie ok, tournante, à redémarrer
Immatriculation : 2592 UJ 38 Voir le lot
Estimé 3 000 € - 5 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : CITROEN DS 21 PALLAS injection électronique
87060 km
Couleur : bleu ciel métallisé
remarques sur l'état : bas de porte à revoir, pavillon décollé, intérieur cuir
Immatriculation : 228 GT 58
Avec sa carte grise Voir le lot
Estimé 3 000 € - 5 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : CITROEN DS SUPER 5
24464 km
Couleur : Marron Metallisé
remarques sur l'état : état d'origine, carrosserie avec corrosion et griffures, aile arrière gauche et bas de caisse à changer
Immatriculation : 5329 UR 38 Voir le lot
Estimé 3 000 € - 4 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : CITROEN AMI 8
27592 km
Couleur : Vert métallisé
remarques sur l'état : petit choc à l'avant droit, moteur à revoir
Immatriculation : 303 AEX 38
Avec sa carte grise Voir le lot
Estimé 1 500 € - 2 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : FIAT 127
Couleur : Bleu ciel
remarques sur l'état : roulante, à redémarrer
Immatriculation : 1569 TB 38
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Estimé 2 000 € - 4 000 € Par QUAI DES ENCHERES sarl à Vienne
le 20/07/2023 : LANCIA GAMMA à carburateur
74685 km
Couleur : Crème
remarques sur l'état : état d'origine, siège velours,
extérieur ok, interieur ok, à redémarrer
Immatriculation : 6181 ZK 38
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