
Estimé 30 000 € - 35 000 €
Par SVV MILLON & ASSOCIES à Paris
le 06/03/2023 : ALFA ROMEO - Montréal
«Je reviendrai à Montréal »
Le modèle
On a tendance à revenir à ce modèle si atypique quand on réfléchit à une acquisition de voiture de collection. Il faut dire qu’avec une production de 3.900 exemplaires, on n’en croise finalement que très rarement.
C’est en 1967 que cette œuvre d’art fait son apparition. Elle a une mission simple, attirer les feux des projecteurs sur elle dans le cadre de l’exposition universelle qui se tenait à Montréal afin de montrer le savoir-faire des usines milanaises.
Son nom n’est donc pas issue d’une longue réflexion mais s’impose comme une évidence pour cet objet qui prend la forme d’une voiture.
En revanche, le style, l’architecture et la motorisation seront le fruit d’un important travail car Alfa Roméo n’a pas fait dans la facilité ou la simplicité.
Commençons par le style qui fut confié au père de la Lamborghini Miura, Marcelo Gandini qui œuvrait à l’époque chez Bertone. Il a disposé de 6 mois pour remplir cette mission.
Le choix se porte sur un coupé 2+2 doté d’une carrosserie de type Fastback à la fois simple mais harmonieuse et dotée de détails très étudiés. On pense tout de suite à ce regard si spécifique disposant de grilles partielles rétractables plutôt que d’utiliser directement des phares rétractables. Il y a également la magnifique prise d’air de type Naca sur le capot. Enfin, il faut souligner le montant arrière qui est habillé avec 6 évents servant à ventiler l’habitacle. On pense également aux choix des couleurs, au nombre de 7 avec 2 verts, 2 gris, 2 orange et 1 or.
La Montréal n’est pas simplement un style, c’est aussi un moteur. Il est lui aussi singulier dans la production du constructeur. Le concept car était à l’origine propulsé par le moteur 1,6 litre de la berline sport d’Alfa, la Giulia TI. Les dirigeants ont jugé cette proposition trop faible lors de la mise en production du modèle final. Il aura d’ailleurs fallu 3 ans pour passer de la version de l’exposition universelle à celui des showrooms de la marque mais c’était cette fois un V8 de type crossplane de 2,6 litres à injection délivrant près de 200 cv. Au-delà de la puissance, c’est aussi la sonorité qui confère à ce moteur une place à part.
C’est d’ailleurs Carlo Chiti, passé par la Scuderia Ferrari avant de prendre la tête de la division course d’Alfa qui conçut ce moteur ce qui explique qu’il était dérivé du V8 de 2,0 litres propulsant l’Alfa Romeo 33 Stradale.
Malgré toutes les bonnes fées qui se sont penchées sur le soldat Montréal, le modèle n’a pas connu le succès puisque de 1970 à 1977, il n’y eu que 3.900 exemplaires à sortir des chaînes. C’est donc une voiture rare, disposant d’une histoire atypique qui doit aujourd’hui être considérée comme une magnifique alternative aux Jaguar E-Type et Porsche 911 qui sont souvent plus chères alors que c’était l’inverse à leurs sorties. Il n’y a plus d’hésitation à avoir !
L’exemplaire
L’exemplaire que nous proposons à la vente est une Alfa Roméo Montréal de 1971 dans sa livrée Arancio Bertone.
Elle détient un moteur V8 accouplé à une boite de vitesse manuelle à 5 rapports. Elle affiche 84.790 Km au compteur.
La carrosserie du véhicule se présente globalement dans un bon état, aucun défaut visuel n’est noté par le spécialiste.
Lors de la vérification visuelle sous le capot, le spécialiste note que le niveau d’huile moteur est normal. Il y a aucune présence de fuite d’huile moteur et l’état de la courroie accessoire est également en bon état sans fuite. Le longeron est en bon état selon le spécialiste.
Lors d’un test à l’arrêt, le démarrage est noté comme bon et l’échappement de fumée normale. L’état du ralenti est stable et la sonorité du moteur également (piste audio du moteur sur demande).
L’intérieur du véhicule est dans son jus, les sièges montrent une usure normale au niveau du tissus. Le siège conducteur est en mauvais état, il nécessitera une réfection de la part du nouvel acquéreur pour un intérieur parfait !
Concernant l’éclairage, toutes les commandes fonctionnent bien et le spécialiste note que les feux dans leur ensemble fonctionnent tous bien.
Le contrôle technique sera effectué prochainement pour la vente du véhicule. La prochaine révision devra être faite pour les 90.000 Km.
Le spécialiste conclut que le véhicule se présente bien et que c’est une « Belle Montréal !».
Pour obtenir plus d’informations, rendez-vous dans la fiche technique, consultez le rapport d’inspection ou prenez contact avec nos équipes.
Un devis pour une carte grise ? Nous sommes à votre disposition ! Voir le lot

Estimé 58 000 € - 60 000 €
Par SVV MILLON & ASSOCIES à Paris
le 06/03/2023 : PORSCHE - 911 964 Carrera 4
Elle cache bien son jeu
Le modèle
En 1988, la Porsche 964 Carrera 4 voit le jour. Il faut dire qu’avec son look de série G, on n’a pas forcément l’impression d’être en face d’une nouvelle 911. Porsche a néanmoins sérieusement innové ce que l’on ne voit pas dans une très grosse proportion puisque la 911 type 964 est nouvelle à 85%.
Est-ce pour cela que son accueil fut timide ? Ou plutôt à cause de ses 4 roues motrices imposées lors de sa présentation ?
Porsche se devait de réagir, car la série G voyait ses volumes de ventes partir du mauvais côté. A la faveur d’un changement de direction, la marque décide de ne pas laisser tomber la 911 au profit des PAM. Cette nouvelle génération apporte une véritable avancée technologique.
Par exemple, elle est la première Porsche à intégrer l’injection électronique. Elle dispose également de la direction assistée à assistance dégressive qui ajuste l’assistance à la vitesse.
Enfin, elle dispose d’un aileron mobile qui se lève automatiquement au-dessus de 80 km/h
En revanche, du côté de la motorisation, elle conserve le moteur atmosphérique de la Carrera 2, à savoir le 6 cylindres de 3.6l avec ses culasses à 2 soupapes par cylindre qui développe 250 ch. C’est bien entendu un refroidissement par air qui garantit sa sonorité inimitable.
Après sa présentation sous forme de coupé à transmission intégrale, la Carrera 4, la nouvelle 911 964 est déclinée en Targa et Cabriolet mais également en propulsion, la Carrera 2.
Elle ne restera en production qu’entre fin 1988 et 1994 après 63 762 exemplaires. Elle représente la dernière évolution du design originel, ce qui la rend particulièrement désirable.
L’exemplaire
Le véhicule présenté est une Porsche 911 964 Carrera 4 de 1989 affichant 134 027 kilomètres au compteur. Ce véhicule dispose de l’emblématique « flat six » de 3,6 L accouplé à une boîte à 5 rapports .
Ce véhicule a fait l’objet d’une inspection visuelle par un spécialiste indépendant. Le rapport est disponible sur demande.
D’extérieur, le véhicule se présente bien, la peinture est brillante pour le kilométrage et la rouille est absente de cette dernière mise à part une petite rayure sur le pare-chocs avant. Le spécialiste indique tout de même, après fine analyse, quelques stigmates du temps visibles notamment sur le hayon du moteur côté passager avec une légère déformation. Nous pouvons également constater un détachement du bas de caisse du côté passager.
L’habitacle, dont la sellerie du véhicule se présente bien pour son âge, et montre aussi quelques défauts comme une légère usure des mousses du siège conducteur ou encore une légère détérioration de la peinture des enceintes.
De plus, la climatisation ne fonctionne pas et les plastiques qui recouvrent les câbles électriques du tableau de bord sont absents.
Concernant les soubassements, après inspection, ils se présentent plutôt bien, aucune rouille superficielle, mise à part sur l’échappement. Aussi, aucune fuite n’est notée.
Le moteur et ses accessoires sont visuellement corrects. Les pneumatiques, avant et arrière, sont à contrôler et à changer prochainement.
Les essais, routier et statistique, sont concluants. Le spécialiste note un bruit de roulement arrière. Le ralenti moteur est stable, aucune vibration n’a été relevée, toutes les commandes fonctionnent.
À noter que le carnet d’entretien est partiellement rempli, et que seul une clef est présente.
Le contrôle technique date de plus de 6 mois, il est donc à prévoir pour la vente du véhicule. La carte grise est française.
Nous recommandons au futur acquéreur de prévoir une révision globale du véhicule après son achat pour une conduite et tenue de route optimale.
Pour obtenir plus d’informations, prenez contact avec nos équipes. Un devis pour une carte grise ? Nous sommes à votre disposition ! Voir le lot

Estimé 9 000 € - 11 000 €
Par SVV MILLON & ASSOCIES à Paris
le 06/03/2023 : JAGUAR - XJ 40 Daimler V12
Le modèle
La Daimler est connue et réputée pour sublimer les Jaguar avec des versions haut de gamme. Sur la base de la XJ, dès 1969, le traitement Daimler est perceptible tant à l’extérieur, avec la calandre nervurée, qu’à l’intérieur avec des options spécifiques comme les tablettes arrière repliables en ronce de noyer.
Une époustouflante version est équipée du V12 déjà installé dans la type E.
Il s’agit de la Daimler Double Six. C'est la naissance de la XJ 12, la berline la plus rapide du monde à son époque, avec une vitesse de pointe de presque 150 mph.
En septembre 1973, la berline est profondément remaniée, ce sera l'apparition de la série 2. L'allure est plus moderne, avec par exemple une calandre plus fine, des pare-chocs plus enveloppants et des ailes élargies.
En 1981, le V12 reste à 5.3 litres, mais devient « HE », pour High Efficiency. En fait sa culasse spéciale et ses pistons plats permettent d’augmenter le taux de compression, et par là même le rendement du moteur. Si on ajoute que l’allumage OPUS a été abandonné en 1982 pour être remplacé par le système Lucas CEI, on atteint 295 ch et 432 Nm de couple au lieu des 285 et 399 des premières années.
L’exemplaire
L’exemplaire que nous proposons à la vente est une Jaguar Daimler Double 6 V12 de 1994 affichant 74 713 km d’origine.
Le véhicule a fait l’objet d’une inspection visuelle par un spécialiste indépendant. Le rapport est disponible sur demande.
L’extérieur du véhicule se présente bien, la couleur bordeaux sombre du véhicule est encore brillante et montre que ce véhicule a bien été entretenu. Le spécialiste indique que le véhicule est micro-rayé sur plusieurs endroits.
Il indique également la présence de rouille, de légères déformations ou enfoncements visibles sur les photos du rapport.
Un impact est visible dans le champ de vision. De plus, le spécialiste indique un début de corrosion au niveau du joint de pare-brise.
Concernant l’intérieur, nous notons que les cuirs sont en bon état de conservation, aucun défaut apparent n’est noté. Les boiseries, le tableau de bord et les garnitures de portes semblent en bel état pour leur âge. Nous relevons tout de même au niveau du levier de vitesse que le vernis de boiserie est un peu attaqué.
Le spécialiste indique que l’un des lève-vitres ne fonctionne pas.
Au niveau des sièges passagers, les tablettes en boiseries sont en bel état et elles sont fonctionnelles.
Le toit ouvrant fonctionne correctement.
Le véhicule présente également un coffre en bon état intérieur. Aussi, la trousse à outils Jaguar d’origine est présente dans le véhicule.
Concernant les soubassements, nous notons la présence de corrosion superficielle, notamment au niveau des bas de caisse.
Pour la partie mécanique, le spécialiste indique sur le système de climatisation est à revoir, en effet nous pensons que le joint de compresseur est à vérifier.
Lors de l’essai routier, le spécialiste note que les amortisseurs arrière sont à remplacer, et que le véhicule semble tirer légèrement à gauche.
Le véhicule est vendu avec sa carte grise française, un contrôle technique de plus de 6 mois en cours de validité, un autre contrôle technique sera effectué pour la vente du véhicule. Le propriétaire actuel possède deux jeux de clefs. Le carnet d’entretien est absent.
Pour obtenir plus d’informations, prenez contact avec nos équipes. Un devis pour une carte grise ? Nous sommes à votre disposition ! Voir le lot

Estimé 7 000 € - 9 000 €
Par SVV MILLON & ASSOCIES à Paris
le 06/03/2023 : TRIUMPH - TR6SS
C’est une gagnante !
Le modèle
La TR6 a été introduite en 1956 et baptisée TR6 Trophy-Bird, empruntant son nom au fameux modèle Thunderbird.
La TR6 utilisait le même moteur que la T110, avec une nouvelle culasse « Delta » en alliage.
Ce modèle fut développé majoritairement pour le marché américain, et tout particulièrement pour les courses dans le désert californien. Plusieurs pilotes ont remporté des courses avec ce modèle, un palmarès assez impressionnant.
Lancée en 1962, la TR6 SS est proposée jusqu’en 1966. Elle était similaire au modèle routier, mais elle avait en plus un système d’échappement deux en un !
Les TR6SS utilisaient une magnéto K2F moins chère que la K2FC de compétition.
Le modèle de la TR6 fut célèbre aussi, car elle a été utilisée par Ekins pour les cascades dans le film la Grande Evasion.
L’exemplaire
L’exemplaire que nous proposons à la vente est une Triumph TR6 SS de 1963 affichant 19 950 Km au compteur.
Ce véhicule est d’origine et n’a pas subi de restauration.
Le poste de pilotage dont la selle, les poignées se présentent bien, malgré quelques traces de corrosion et de griffures sur les chromes et la carrosserie. Le cale-pied est dans son jus, et dans un état d’usage. Les leviers de freins, avant et arrière, sont en bon état.
Le cadre présente des légères traces d’usures et de corrosion à divers endroits. L’échappement est en bon état pour son âge, tout comme le réservoir et les amortisseurs.
Le moteur et la transmission sont en bon état pour leurs âges. La distribution est un bycilindre en ligne à carburation.
Ce véhicule, d’origine, n’a pas subi de restauration, et son bon entretien mécanique fait que son nouvel acquéreur peut repartir par la route et profiter pleinement des chemins de campagne avec !
Pour toutes les motos de cette vente, Carprecium by Millon vous rappelle que les véhicules sont vendus en l’état et qu’il n’y a qu’une inspection visuelle réalisée sur des photographies. Aussi, des frais normaux de révisions et de vérifications du moteur sont à la charge du nouvel acquéreur. Voir le lot

Estimé 6 000 € - 8 000 €
Par SVV MILLON & ASSOCIES à Paris
le 06/03/2023 : TRIUMPH - T100
Sportive et puissante : une vraie tigresse !
Le modèle
La T100 ou Tiger 100 a été fabriquée pour la première fois en 1939. Sa production cessa quand l’usine fut détruite par les bombardements allemands de 1940 pendant la WW2. Les usines ont rouvert en 1946.
Cette moto se veut légère et puissante, elle a été développée comme une machine pour les sportifs. Le « 100 » fait référence à sa vitesse maximale en miles par heure.
La production d’après-guerre améliore la T100 des débuts. En 1951, un nouveau fut de cylindre en alliage à ailettes et des kits de course sont intégrés. En 1953, la 100C apparaît, c’est un modèle équipé exclusivement pour la course et fabriqué à 560 exemplaires.
En 1954, elle se voit vêtir d’une suspension arrière à bras articulé.
Années après années, la T100 se développe aux côtés des autres modèles de la gamme, dans une recherche perpétuelle de puissance et légèreté.
L’exemplaire
L’exemplaire que nous proposons à la vente est une Triumph Tiger 100 de 1955 affichant 400 Km au compteur. C’est donc une production après la guerre.
La moto a subi une restauration mécanique et esthétique.
Le poste de pilotage se présente bien globalement. Les poignées montrent des traces d’usures en surface. Les leviers de freins et les cale-pieds se présentent bien également avec quelques traces d’usures.
Le cadre se présente bien et est dans un bel état. La Fourche, les amortisseurs ainsi que l’échappement se présentent également bien.
Le moteur et la transmission sont en bon état. La distribution est un bicylindre en ligne à carburation.
Le nouvel acquéreur pourra profiter pleinement des balades dominicales avec ce joli bolide.
Pour toutes les motos de cette vente, Carprecium by Millon vous rappelle que les véhicules sont vendus en l’état et qu’il n’y a qu’une inspection visuelle réalisée sur des photographies. Aussi, des frais normaux de révisions et de vérifications du moteur sont à la charge du nouvel acquéreur. Voir le lot

Estimé 4 500 € - 6 500 €
Par SVV MILLON & ASSOCIES à Paris
le 06/03/2023 : HONDA - Hondamatic CB750 Four
Jamais commercialisée en France, et pourtant on en raffole !
Le modèle
La Honda CB 750 Hondamatic est une moto authentique, se différenciant du reste de la production, d’origine et peu courante, elle a largement gagnée sa place dans les motos de collection !
Cette Honda a surtout été conçue pour le marché nord nord-américain.
La Hondamatic, emprunte à la Honda Civic le convertisseur de couple hydraulique.
Comparé à la CB 750, le moteur est assagi pour faire primer le couple et préserver la transmission.
Cette moto est dotée d’une boîte semi-automatique à deux vitesses. L’utilisateur a la possibilité de passer de l’un à l’autre en roulant.
Pour stationner la moto en pente, un frein de parking agissant sur la roue arrière est présente.
Elle a été présenté en France en 1976, à l’occasion du Salon de la voiture de course, mais ne sera jamais commercialisée dans notre pays, quel dommage !
L’exemplaire
L’exemplaire que nous proposons à la vente est une Honda Hondamatic CB 750 Four de 1977.
Le cadre en acier est en double berceau, comme sur l’ensemble de la gamme CB.
L’empattement augmente de 25 mm du fait de l’adoption d’un bras oscillant rallongé.
Le 4 cylindres, en ligne SOHC, est alimenté par quatre carburateurs de la même génération que la rampe équipant la K7.
Les compteurs reprennent l’aspect des boîtiers équipant les CB750 K6 et K7 mais leurs cadrans sont différents, du fait de la présence de la boîte semi-auto.
Le compteur de vitesse ne présente pas moins de quatre échelles de graduation.
En plus des graduations habituelles en MPH et en KM/H, on trouve : une graduation supplémentaire de 0 à 95 km/h pour le 1er rapport, une dernière graduation de 0 à 175 km/h pour le second rapport.
Le boîtier comprend un totalisateur journalier. Il n’y a pas de compte-tours. Le second boîtier comprend trois voyants principaux indiquant le rapport engagé : soit Neutral- Low (1er rapport)- ou encore Drive (2e rapport).
Le grand guidon de type U.S. appelle une conduite raisonnable. Les commodos, similaires à ceux équipant les CB 750K6 et K7, regroupent les fonctions habituelles.
La boîte de vitesse semi-automatique oblige : il n’y a pas de levier d’embrayage.
La mise en route est extrêmement simple – elle ne peut s’effectuer qu’en position Neutral : contact (le contacteur principal fait également office d’antivol de direction).
Cette moto se présente globalement dans un très bel état de conservation et le propriétaire en a pris un grand soin durant toutes ces années !
Pour toutes les motos de cette vente, Carprecium by Millon vous rappelle que les véhicules sont vendus en l’état et qu’il n’y a qu’une inspection visuelle réalisée sur des photographies. Aussi, des frais normaux de révisions et de vérifications du moteur sont à la charge du nouvel acquéreur. Voir le lot