
Estimé 130 000 € - 150 000 €
Par Osenat Fontainebleau à Saint-Émilion
le 25/06/2023 : 1956 ASTON MARTIN DB2/4 MK2
Série LML1060
Carte grise française
Restauration Intégrale de Très Haut Niveau
160 000 / 200 000
Quand Aston Martin passe sous le contrôle de David Brown en 1947, la marque commence à se développer réellement et va présenter de nouveaux modèles, la DB1 en 1948 puis la DB2 en 1950 et, celle qui nous intéresse, la DB2/4 en 1953. Avec ces modèles Aston Martin va enfin connaître ses premières victoires au Mans. La différenciation de la DB2/4 par rapport à la DB2 est que la DB2/4 peut accueillir quatre personnes.
Notre exemplaire est plus précisément une DB2/4 Mk II, modèle produit en 199 exemplaires entre 1955 et 1957. Celle-ci a été mise en circulation en 1956 et est propulsée par un 6 cylindres de 2922 cm3 qui donne 142 ch. Revêtue de la magnifique combinaison Sea-Green & Beige la carrosserie est irréprochable.
Cette DB2/4 a été livrée neuve en France en RHD à une certaine Mme Nicole Lacombe résidant à Paris le 5 janvier 1956 par l'intermédiaire du garage Majestic Automobile, la voiture était alors immatriculée 9803 EP 75. Le bon de commande nous indique qu'elle était alors noire et que des freins à tambours Alfin faisaient partie de la liste des options. Nous perdons sa trace jusqu'en 1968 année où elle est acquise par un amateur charentais, la voiture était alors immatriculée 66 CF 16. Le propriétaire actuel l'a acquise en 2006, la voiture portait alors la plaque 9996 SR 33. Ce n'est qu'en 2011 que la voiture obtient son numéro d'immatriculation actuel lors d'un changement de domicile.
Mécaniquement elle est aussi en très bon état comme l’atteste son contrôle technique qui date du 25/01/23, de plus elle n’affiche que 63 575 km au compteur.
1956 ASTON MARTIN DB2/4 MK2
Series LML1060
French registration
Complete restoration to a very high standard
160 000 / 200 000
When Aston Martin came under the control of David Brown in 1947, the brand really began to develop, introducing new models: the DB1 in 1948, the DB2 in 1950, and the DB2/4 in 1953. With these models, Aston Martin finally scored its first Le Mans victories. The difference between the DB2/4 and the DB2 is that the DB2/4 can seat four people.
Our example is a DB2/4 Mk II, 199 of which were produced between 1955 and 1957. It was launched in 1956 and is powered by a 6-cylinder, 2922 cm3, 142 hp engine. Covered in the magnificent Sea-Green & Beige combination, the bodywork is beyond reproach.
This DB2/4 was delivered new in France RHD to a certain Mme Nicole Lacombe residing in Paris on January 5, 1956 via the garage Majestic Automobile, the car was then registered 9803 EP 75. The order form indicates that it was black at the time, and that Alfin drum brakes were on the options list. We lost track of it until 1968, when it was acquired by an enthusiast from the Charente region, with registration number 66 CF 16. The current owner acquired it in 2006, when it bore the plate 9996 SR 33. It wasn't until 2011 that the car obtained its current registration number following a change of address.
Mechanically, it is also in very good condition, as attested by its technical inspection dated 25/01/23, and has only 63,575 km on the odometer. Voir le lot

Estimé 310 000 € - 360 000 €
Par Osenat Fontainebleau à Saint-Émilion
le 25/06/2023 : 1952 ASTON MARTIN DB2 DHC Vantage
Série LML/50/397
Moteur VB6E/50/1233
Carte grise française
Restauration Intégrale de Très Haut Niveau
310 000 / 360 000
Quand Aston Martin passe sous le contrôle de David Brown en 1947, la marque commence à se développer réellement et va présenter de nouveaux modèles, la DB1 en 1948 puis la DB2 en 1950 et la DB2/4 en 1953. Avec ces modèles Aston Martin va enfin connaître ses premières victoires au Mans. Plusieurs carrosseries étaient disponibles au catalogue dont un cabriolet le DHC pour Drop Head Coupe. Entre 1950 et 1953, moins de 100 DB2 DHC furent produites et parmi elles seule une minorité était équipée du moteur Vantage de 125 ch.
Notre exemplaire est l’une d’elles, le cabriolet de la gamme. Équipée du moteur Vantage optionnel, elle fut livrée neuve par la concession Brook Lands à Londres en 1953. Nous savons d’après l’Aston Martin Register qu’en 1975 à cette époque le véhicule appartenait à un certain G.H Brown et était immatriculée NUV 923. Redécouverte dans un état discutable par son ancien propriétaire, un hollandais, dans les années 70, période à laquelle il acquit l’automobile.
Il débuta en 1998 une restauration intégrale et documentée. Les travaux prirent fin en 2005.
Elle se présente aujourd’hui en bleu, intérieur rouge et capote crème, elle se présente aujourd’hui dans un très bel état. Son propriétaire actuel l’a acquise en 2011. Depuis sa restauration cette automobile a parcouru seulement 11 000 miles.
Mécaniquement elle est aussi en très bon état comme l’atteste son contrôle technique et l’essai routier réalisé par nos soins.
Cette DB2 DHC Vantage est une occasion unique de se procurer une pièce majeure de l’histoire d’Aston Martin, dans un état concours.
1952 ASTON MARTIN DB2 DHC Vantage
Series LML/50/397
Engine VB6E/50/1233
French registration
Complete restoration to a very high standard
310 000 / 360 000
When Aston Martin came under the control of David Brown in 1947, the brand really began to develop, introducing new models: the DB1 in 1948, the DB2 in 1950 and the DB2/4 in 1953. With these models, Aston Martin finally scored its first Le Mans victories. Several body styles were available, including a convertible, the DHC for Drop Head Coupe. Between 1950 and 1953, fewer than 100 DB2 DHCs were produced, of which only a minority were equipped with the 125 hp Vantage engine.
Our example is one of these, the convertible of the range. Equipped with the optional Vantage engine, it was delivered new from the Brook Lands dealership in London in 1953. We know from the Aston Martin Register that in 1975 the car was owned by a certain G.H Brown and was registered NUV 923. Rediscovered in questionable condition by its former owner, a Dutchman, in the 1970s, when he acquired the car.
In 1998, he began a complete and documented restoration. The work was completed in 2005.
Today, the car is presented in blue, with a red interior and cream soft top, and is in excellent condition. Its current owner acquired it in 2011. Since its restoration, this car has covered just 11,000 miles.
Mechanically, it is also in very good condition, as attested by its technical inspection and the road test carried out by us. Voir le lot

Estimé 140 000 € - 160 000 €
Par Osenat Fontainebleau à Saint-Émilion
le 25/06/2023 : 1971 ASTON MARTIN DBS VANTAGE
Série DBS/5560/R
Carte grise française
Restauration Intégrale
140 000 / 160 000
Lancée en 1967, l’Aston martin DBS est la dernière des créations de David Brown.
Héritière des mythiques DB4 DB5 et DB6, la DBS marque une véritable transition par rapport à ses années, un style plus dans l’ère du temps signé William Towns est adopté. Niveau mécanique un V8 est prévu pour pouvoir mieux répondre au gout de la clientèle américaine.
Pour l’anecdote la légende rapporte que c’est Annie Soisbault de Montaigu, propriétaire du Garage Mirabeau, qui suggéra à David Brown d’honorer son épouse Susan en accolant l’initiale de son prénom aux deux siennes.
La mise au point du V8 s’avérant difficile, celle-ci naquit finalement avec le 6 cylindres en ligne de la DB6. Excellent moteur, il valorisait parfaitement la très belle carrosserie. La version 6 cylindres poursuivit sa carrière même après la sortie de la V8.
Comme le confirme son certificat Aston Martin notre exemplaire est sorti de l’usine le 11 février 1971 avec son kit carrosserie Vantage et en conduite à droite dès sa sortie d’usine et avant sa livraison en Belgique elle fut immédiatement passée en conduite à gauche. Ce n’est qu’au moment de sa restauration intégrale il y a quelques années que le moteur fut passé en configuration Vantage. Le véhicule se présente ainsi dans une très belle configuration et dans un état irréprochable prête à parcourir de longues distances pour les prochaines vacances.
1971 ASTON MARTIN DBS VANTAGE
Series DBS/5560/R
French registration
Full restoration
140 000 / 160 000
Launched in 1967, the Aston Martin DBS is the last of David Brown's creations.
Heir to the legendary DB4 DB5 and DB6, the DBS marks a genuine transition from its predecessors, adopting a more contemporary styling by William Towns. Mechanically, a V8 engine was introduced to better suit the tastes of American customers.
Legend has it that it was Annie Soisbault de Montaigu, owner of Garage Mirabeau, who suggested that David Brown honor his wife Susan by adding the initial of her first name to both of his.
The development of the V8 proved difficult, so the DB6's in-line 6-cylinder engine was chosen. An excellent engine, it perfectly complemented the beautiful bodywork. The 6-cylinder version continued its career even after the release of the V8.
As confirmed by its Aston Martin certificate, our example left the factory on February 11, 1971 with its Vantage body kit and right-hand drive as soon as it left the factory, and immediately switched to left-hand drive before delivery to Belgium. It wasn't until its complete restoration a few years ago that the engine was switched to Vantage configuration. As a result, the vehicle presents itself in a beautiful configuration and in irreproachable condition, ready to cover long distances for the next vacations. Voir le lot

Estimé 120 000 € - 150 000 €
Par Osenat Fontainebleau à Saint-Émilion
le 25/06/2023 : 1927 BNC 527
Série 27150
Restaurée
Carte grise française
120 000 / 150 000
BNC est une firme ayant connu un grand succès commercial au cours des années 20, ses voitures légères sportives ayant souvent été rivales heureuses des Amilcar et Salmson. La production n’a perduré que de 1924 à 1931. Les BNC existèrent aussi en modèles de tourisme, bien que leur vocation première fût la compétition.
En 1923, Lucien Bollack et son ami banquier René Netter créent une nouvelle société de fabrication de cyclecars et voiturettes de sport et de course. Ils la nomment BNC pour Bollack, Netter et Compagnie. De 1920 à 1936, "Bollack & Netter Compagnie" crée plusieurs modèles sportifs forts convoités en classe 1 100 cm3. Dès 1927 BNC subira le même sort que nombre de petits constructeurs français, la firme étant face à des difficultés financières. Charles de Ricou en reprend les commandes un an plus tard et lance un programme de course en équipant les modèles 527 d'une 4 cylindres Ruby, auxquels sont adjoints des compresseurs Cozette. Le modèle éphémère de la type 52 est l’ancêtre du type 527 et de son emblématique radiateur à nid d'abeille incliné avec bord arrondi qui fait la renommée de la marque de 1927 à 1931. La crise économique de 1929 stoppe le développement de la marque et l'usine ferme peu de temps après. Pilote émérite de BNC, André Sirejols (Collection vendue aux enchères à Fontainebleau par Maitre Osenat dans les années 80) continuera néanmoins à représenter la marque dans son atelier de Levallois.
Le moteur permet de belles performances. Par exemple, en 1926, BNC termine 3e au "Grand Prix des Voiturettes de l'ACF", à Miramas. En 1928, dans la classe 1100cc, BNC réalise un doublé au Bol d'Or 1927 et décroche une victoire aux 24h du Mans.
"On sait que ce sont les grandes marques étrangères qui se taillèrent, en grosses cylindrées, la part du lion. Heureusement pour nous, l'honneur de la France a été sauvé par B.N.C. Tous ceux qui aiment l'automobile devront se rappeler les 2270 km 669 couverts, en 24 heures, par Doré et Treunet sur une B.N.C. de série." La Vie Automobile 09/1928 à propos des 24H du Mans.
Le modèle proposé à la vente est une BNC 527 (châssis Sirejol) équipée d’un MOTEUR SCAP accouplé à une boite 4 vitesses et doté d’un pont sans différentiel. La voiture restaurée par le propriétaire il y a quelques années et se présente dans un bel état.
L’essai routier a révélé une voiture performante et plaisante à conduire.
Il s’agit-là d’une opportunité exceptionnelle pour acquérir une voiture rarissime, une rares françaises pouvant se battre sur piste avec les Bugatti.
1927 BNC 527
Series 27150
Restored
French registration
120 000 / 150 000
BNC was a commercially successful firm in the 1920s, its light sports cars often the successful rivals of Amilcar and Salmson. Production lasted only from 1924 to 1931. BNC also produced touring models, although their primary vocation was competition.
In 1923, Lucien Bollack and his banker friend René Netter set up a new company to manufacture cyclecars and sports and racing cars. They named it BNC for Bollack, Netter et Compagnie. From 1920 to 1936, "Bollack & Netter Compagnie" created several highly coveted sports models in the 1,100 cm3 class. From 1927 onwards, BNC suffered the same fate as many small French manufacturers, facing financial difficulties. Charles de Ricou took over the reins a year later and launched a racing program, equipping the 527 models with 4-cylinder Ruby engines and Cozette compressors. The short-lived Type 52 is the forerunner of the Type 527 and its emblematic sloping honeycomb radiator with rounded edge, which made the brand famous from 1927 to 1931. The economic crisis of 1929 halted the brand's development, and the factory closed shortly afterwards. André Sirejols, an experienced BNC driver (whose collection was auctioned in Fontainebleau by Maitre Osenat in the 1980s), continued to represent the brand from his workshop in Levallois.
The engine is also a great performer. For example, in 1926, BNC finished 3rd in the "Grand Prix des Voiturettes de l'ACF", at Miramas. In 1928, in the 1100cc class, BNC completed a one-two finish at the 1927 Bol d'Or and won the 24 Hours of Le Mans.
"We know that it was the big foreign makes that took the lion's share of the large-displacement races. Fortunately for us, France's honor was saved by B.N.C. Anyone who loves cars will remember the 2270 km 669 covered in 24 hours by Doré and Treunet in a production B.N.C.". La Vie Automobile 09/1928 about the 24 Hours of Le Mans.
The model offered for sale is a BNC 527 (Sirejol chassis) equipped with a SCAP ENGINE mated to a 4-speed gearbox and fitted with an axle without differential. The car was restored by the owner a few years ago and is in beautiful condition.
The test drive revealed a high-performance car that's a pleasure to drive.
This is an exceptional opportunity to acquire a very rare car, one of the few French cars that can compete on the track with the Bugattis. Voir le lot

Estimé 8 000 € - 12 000 €
Par Osenat Fontainebleau à Saint-Émilion
le 25/06/2023 : c1960 ALPINE A108 CABRIOLET
Pas de carte grise ni de numéro d’identification
Année : environ 1960
8 000 / 12 000
Comme nous l’avons dit, Jean Rédélé a créé la marque Alpine en lançant le modèle A106, dont la ligne était due aux carrossiers de Saint Maur Chappe et Gessalin, spécialistes à ce moment là d’une nouvelle technique : le polyester.
Cependant la ligne du petit coach ne satisfaisait guère le pilote et chef d’entreprise Dieppois. Faisant assembler ses A106 dans le garage du beau-père Escoffier au 11 rue Forest à Paris, il créée alors en décembre 1957 une nouvelle entreprise : la société RDL installée rue Pasteur à Dieppe, siège des Grands Garages de Normandie qui est la concession Renault d’un certain… Rédélé Jean ! C’est ici que ses ouvriers vont s’essayer à la fibre et à la résine, sur un nouveau modèle d’Alpine : un cabriolet sur base de plateforme de 4cv Renault. C’est ainsi que naitra celle qui, en évoluant, donnera la berlinette qui a vaincu il y a 50 ans au championnat du Monde. Fait exceptionnel dans l’histoire de l’automobile moderne, le coupé provient du cabriolet et non l’inverse !
En 1960, la plateforme 4cv est abandonnée pour un châssis poutre inspiré des productions anglaises : ce sera le cabriolet A108, avec moteur Dauphine. Celui-ci donnera rapidement la berlinette A108, puis la berlinette A110 que toute le monde connait.
Le cabriolet A108 qui est présenté à la vente est un des premiers fabriqués avec ce fameux châssis poutre, que l’on peut dater d’environ 1960, pour preuve l’ouverture de son capot avant qui se faisait à l’opposé des Alpine qui suivront, avec un système de charnières intérieures. En outre, les phares qui sont protégés par une bulle, sont reculés dans leur logement alors que les suivants seront saillants.
Malheureusement, ce cabriolet n’a ni numéro d’immatriculation, ni plaques d’identification, ni carte grise. Son identité est donc inconnue. Il y manque toutes les garnitures intérieures, les sièges, les deux portes avec leurs boutons poussoirs spécifiques, la mécanique est démontée, Le moteur semblant se trouver sur une étagère et une boite Renault genre Dauphine se trouvant avec des trompettes et des freins à disques sous l’avant de la voiture seront fournis à l’acheteur.
Nous remercions le spécialiste Gilles Vallerian pour son aide dans l'historique de cette automobile.
Evaluation : 8/10 000 euros
c1960 ALPINE A108 CABRIOLET
No registration or identification number
Year: circa 1960
8 000 / 12 000
As mentioned above, Jean Rédélé created the Alpine brand with the launch of the A106 model, designed by Saint Maur coachbuilders Chappe and Gessalin, specialists at the time in a new technique: polyester.
However, the little coach's lines didn't satisfy the Dieppois pilot and entrepreneur. Having his A106s assembled in the garage of his father-in-law Escoffier at 11 rue Forest in Paris, he set up a new company in December 1957: RDL, located on rue Pasteur in Dieppe, the headquarters of Grands Garages de Normandie, the Renault dealership of a certain... Rédélé Jean! It was here that his workers would try their hand at fiber and resin, on a new Alpine model: a cabriolet based on the Renault 4cv platform. Thus was born the car that, as it evolved, became the sedan that won the World Championship 50 years ago. Unusually in the history of the modern automobile, the coupé is derived from the cabriolet, not the other way round!
In 1960, the 4cv platform was abandoned in favor of a beam chassis inspired by English production: this would be the A108 cabriolet, with a Dauphine engine. This soon gave rise to the A108 berlinetta, then the A110 berlinetta that everyone knows.
The A108 cabriolet presented for sale was one of the first to be built with this famous beam chassis, which can be dated to around 1960, as evidenced by the opening of its front hood, which was the opposite of the Alpine that followed, with a system of interior hinges. What's more, the headlamps, protected by a bubble, are set back in their housings, while the following ones will be protruding.
Unfortunately, this cabriolet has no registration number, no identification plates and no vehicle registration document. Its identity is therefore unknown. The engine seems to be on a shelf, and a Renault Dauphine-style box with trumpets and disc brakes under the front of the car will be supplied to the buyer.
Our thanks to specialist Gilles Vallerian for his help with the history of this car. Voir le lot

Estimé 8 000 € - 10 000 €
Par Osenat Fontainebleau à Saint-Émilion
le 25/06/2023 : 1960 AUSTIN HEALEY 3000
N° de série : HBT7L25205
Carte Grise Française
8 000/ 10 000
Beau projet de restauration
Présentée au public en 1959, l’Austin Healey 3000 est la descendante d’une lignée de roadsters anglais imaginée après la Seconde Guerre Mondiale par Donald Healey avec pour but de faire des cabriolets abordables, élégants et performants. D’abord entrainé par un quatre cylindres sous le capot de l’Austin Healey 100/4, le roadster adopte rapidement un moteur six cylindres en ligne pour près de trois litres et développant alors 125 chevaux dans sa première version ce qui lui conféra le surnom de « Big Healey ». Trois versions d’Austin Healey 3000 se suivirent jusqu’en 1968 avec la BJ8 qui offre des performances très convenables pour l’époque.
Quasi complète et avec des papiers en règle, cette Austin Healey est un beau projet de restauration. Accompagnée de son hard top, cette voiture n’attend plus qu’une restauration pour pouvoir reprendre la route.
1960 AUSTIN HEALEY 3000
Serial Number: HBT7L25205
French registration
8 000/ 10 000
Beautiful restoration project
Introduced to the public in 1959, the Austin Healey 3000 is the descendant of a line of English roadsters imagined after the Second World War by Donald Healey with the aim of making affordable, elegant, high-performance convertibles. Initially powered by a four-cylinder engine under the hood of the Austin Healey 100/4, the roadster soon adopted an in-line six-cylinder engine developing almost three liters and 125 horsepower in its first version, earning it the nickname "Big Healey". Three versions of the Austin Healey 3000 followed until 1968, with the BJ8 offering very decent performance for its time.
Virtually complete and with its papers in order, this Austin Healey is a fine restoration project. Accompanied by its hard top, this car is just waiting to be restored and put back on the road. Voir le lot