Le 16 mars 2022 | Mis à jour le 17 mars 2022

Des Ferrari et Citroën 2CV aux enchères à Fontainebleau

par Magazine des enchères

A l’occasion de sa grande vente de printemps, la maison Osenat proposera aux enchères le 28 mars à Fontainebleau une sélection d’automobiles et motos de collection prestigieuses. Au programme, des exemplaires rares de Citroën 2CV, une sélection de Ferrari recherchées et des motos Adler ou Harley Davidson anciennes.

 

Si elle compte comme l’une des voitures les plus populaires de l’histoire de l’automobile française, la Citroën 2CV a également été produite hors de France, et notamment en Grande Bretagne où un modèle coupé a été commercialisé de 1959 à 1964. Dotée d’une carrosserie en plastique, la « Bijou » n’a toutefois pas rencontré son public, de telle sorte qu’elle n’a été produite qu’à 209 unités. Les exemplaires sont de ce fait rares sur le marché, et particulièrement sur le territoire français. Le 28 mars prochain à Fontainebleau, la maison Osenat proposera l’un d’eux aux enchères : un modèle importé en France en 2016, après avoir été entièrement restauré (10 000 – 15 000 euros). Lors de cette vente, la marque Citroën sera également représentée par une AZ à malle de 1956 entièrement restaurée (12 000 – 15 000 euros), une fourgonnette AZU de 1957 dans le même état (13 000 – 15 000 euros) et une Charleston Delage rouge avec moins de 5 000 km au compteur (12 000 – 15 000 euros).

 

Citroën Bijou de 1962 estimée entre 10 000 et 15 000 euros.

 

Des Ferrari des années 1960 à 1980

A l’opposé de la « deux pattes », ce ne sont pas moins de sept Ferrari qui seront proposées lors de cette vacation. La plus ancienne est une 330 GT de 1964, reconnaissable à ses quadruples phares ronds. Ce modèle a l’avantage d’associer le mythique V12 Colombo à une configuration 2+2 permettant d’accueillir quatre personnes dans un habitacle bien plus luxueux que la norme Ferrari de l’époque (250 000 – 280 000 euros). Trois exemplaires de son héritière, la 365/400, seront également présentés : une 365 GT4 de 1976 à remettre en route, mais dotée de la boîte manuelle correspondant à ce millésime (40 000 – 50 000 euros), une 400i en bel état de 1981 d’origine française (50 000 – 60 000 euros) et une seconde 400i en boîte manuelle transformée en cabriolet par l’artisan californien G&K en 1984 (50 000 – 60 000 euros). Plus spectaculaires, deux 512 Berlinetta Boxer datées de 1983, correspondant à la toute fin de carrière du modèle. Les enchérisseurs n’auront qu’à choisir la couleur, ces deux Ferrari étant en très bel état et faisant l’objet de la même estimation (250 000 – 280 000 euros). D’intéressantes automobiles anglaises et américaines, des motos Adler et Harley Davidson anciennes ainsi que des lots automobilia de grande qualité susciteront également l’intérêt des enchérisseurs.

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