
Estimé 6 000 € - 8 000 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Francis RENAUD (Saint-Brieuc, 1887-1973)
VONNICK.
Exceptionnelle sculpture en marbre de taille directe, vers 1929.
Titrée sur la base et signée sur le côté "RENAUD".
Hauteur : 67 cm.
(Petites usures).
Créée en 1927, l'étude en plâtre de Vonnick sera éditée en terre cuite et présentée au Salon de 1935. Notre sculpture, unique et remarquable, est très probablement
le marbre présenté au Salon des Artistes Français en 1929.
Vonnick, jeune fille de Daoulas, s'impose comme une sculpture délicate et puissante, incarnant le génie sensible de Francis Renaud où la pureté des lignes
se met au service de l'expression de la profondeur de l'âme humaine.
Vonnick, c'est cette prouesse, la synthèse entre naturalisme et stylisation géométrique, entre l'ancien et le moderne, que la douceur qui émane de cette jeune bretonne rend limpide et évidente.
Vonnick c'est enfin une sculpture unique taillée dans le marbre, matériau noble et difficilement domptable, creuset idéal de ce chef-d'oeuvre de la sculpture bretonne.
Fils de commerçants installés rue Saint-Guillaume à Saint-Brieuc, Francis Renaud fréquente l'école municipale de dessin de Saint-Brieuc, puis entre comme peintre à l'Ecole des Beaux-Arts de Rennes en 1903 puis à l'ENSBA de Paris en 1908, dans l'atelier de Fernand Cormon. Ce n'est qu'après son service militaire que Francis Renaud s'inscrira en sculpture dans l'atelier de Jean-Antoine Injalbert. Il expose au Salon des Artistes Français où il sera médaillé d'or en 1932. Ses oeuvres sont conservées au musée des beaux-arts de Rennes, au musée d'art et d'histoire de Saint-Brieuc, au musée des beaux-arts de Quimper et au musée breton de Quimper.
Bibliographie :
- JR Rotté, "Francis Renaud, sculpteur breton" in Briochin du temps passé, les cahiers de l'Iroise, 1985.
- Collectif, sous la direction de Philippe Le Stum, "La puissance et la grâce, sculpteurs bretons 1900-1950", Château de Kerjean, 1998.
Voir le lot

Estimé 2 000 € - 3 000 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Francis RENAUD (Saint-Brieuc, 1887-1973)
La Bretonne du Goëlo, vers 1927.
Buste en terre cuite patinée signé. Accompagné d'une lettre autographe manuscrite de l'artiste au collectionneur.
Hauteur : 40 cm. Largeur : 45 cm. Profondeur : 24,5 cm.
Provenance :
- Collection Louis Le Restif (Saint-Brieuc, 1883-1968) qui note dans son catalogue : "achetée à l'artiste le 26 mars 1927. 500 frs.".
- Par leg, collection du pays Fisel depuis plus de 50 ans.
"J'espère que la patine vous plaira"
Quelle chance absolument inouïe que cette lettre n'aie jamais quitté l'oeuvre qu'elle concerne, et ce depuis près d'un siècle ! Ainsi Francis Renaud explique ici à Louis Le Restif que c'est Zoé Laigneau (1885-1965), artiste peintre briochine, qui est venue le trouver à Paris de sa part. Zélé, il s'assure lui-même de l'emballage de sa "figure". Il ne manque pas de préciser qu'elle lui a valu la médaille d'or lorsque, réalisée par la manufacture Henriot, elle fut exposée au Pavillon breton du Salon des Arts Décoratifs de 1925. Et il livre un sentiment peut-être jusqu'ici inconnu : l'expression de la statue de granit en pied, de 1922, toujours visible au parc des Promenades de Saint-Brieuc, ne lui plaît guère. En revanche, cette épreuve en terre cuite est bien conforme à sa volonté. A-t-il eu l'occasion de retoucher la pierre comme il se l'était promis ? Viennent ensuite des recommandations d'exposition : en hauteur et à jour frisant.
Ce témoignage rarissime, empli de douceur et d'humilité, d'exigence et de rigueur, nous plonge dans l'intimité de l'artiste et sa création ainsi que dans le secret de la livraison d'une pièce à un collectionneur.
Cette figure est de la plus grande rareté. Notre exemplaire, de grandes dimensions, était jusqu'alors inconnu et semble unique.
"Paris 26 mars 1927
Cher Monsieur,
J'ai eu la visite de Madame Laigneau avant-hier, venue de votre part me commander une terre cuite de la Bretonne du Goëlo et m'apportant 500 F, prix que je lui avais fait pour vous.
L'emballage se fait en ce moment vous recevrez donc la caisse mercredi probablement...
Cette chose étant fragile pour le transport je préfère m'en occuper moi même ; la terre cuite sera dans un panier et celui-ci entouré d'une carcasse en bois.
J'espère que vous serez satisfait de cette figure décorative et que la patine vous plaira. A l'exposition des Arts Décoratifs elle m'a valu une médaille d'or. Vous pourrez voir avec la photo que l'expression est mieux réussie que dans la statue des Promenades. J'ai d'ailleurs étudié à nouveau cette tête il y a environ un an me promettant de retoucher un jour l'expression dans le granit.
Je vous engage à la placer assez haut et autant que possible près d'une fenêtre, l'éclairage à jour frisant lui convenant mieux.
Avec mes remerciements veuillez agréer, cher Monsieur ainsi que Madame, l'assurance de mes meilleurs sentiments.
Francis Renaud". Voir le lot

Estimé 2 500 € - 3 000 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Mathurin MEHEUT (Lamballe, 1882 - Paris, 1958), peintre de la Marine en 1923, pour VILLEROY & BOCH à Mettlach.
La basse-cour, 1950.
Modelage en faïence blanche recouverte d'un émail translucide et bleu. Signé "MM" et daté 1950. Située à Mettlach et doublement signé "VIL & BOCH".
Hauteur : 17,5 cm. Longueur : 23,5 cm. Largeur : 12 cm. (Manques et restitutions, fêles de cuisson).
Outre les collaborations avec les manufacture Henriot et Sèvres, Mathurin Méheut a également étroitement travaillé pour la Manufacture Villeroy et Boch, à Mettlach (Sarre), et ce dès les années 1930 avec le célèbre service destiné au restaurant Prunier, à Paris.
Il y retourne après la guerre, en 1949, et visite la manufacture, ne tarissant pas d'éloges sur son fonctionnement : "Quelle facilité de travail, quel accueil depuis les petites ouvrières jusqu'à la direction des ateliers de peinture". La comparaison avec les manufactures françaises n'est pas élogieuse : "Pauvres types que ces Français céramistes, quand on voit sortir ici ce qu'ils sortent. [...] Quimper, Limoges, des andouilles." (Lettre à Yvonne Jean-Haffen, 24 août 1950).
C'est donc chez Villeroy et Boch, en 1950, que Méheut crée notre oeuvre. Elle est typique d'un thème qu'affectionne particulièrement l'artiste : les animaux de ferme. Ici, "il mêle exceptionnellement hommes et animaux" : le ban et l'arrière-ban de la basse-cour se pressent autour de notre fermière pour réclamer pitance : du noble paon au cochonnet en passant par les pintades, les lapins, les canards et le coq.
Bibliographie : Coll., Mathurin Méheut, Le Chasse-Marée / Ar Men, 2001, p. 316. Voir le lot

Estimé 1 000 € - 1 500 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Joseph SAVINA (Douarnenez, 1901 - Tréguier, 1983).
Grand FAUTEUIL en chêne massif, dossier amovible sculpté d’un motif celtique, assise amovible en paille, vers 1945.
Hauteur : 90 cm. Longueur : 58 cm. Profondeur : 65 cm.
Joseph SAVINA, Meilleur Ouvrier de France, membre du mouvement Ar Seiz Breur, proche collaborateur de René-Yves Creston et des architectes James Bouillé, Roger Le Flanchec et, bien sûr, Le Corbusier. Il ouvre son Atelier d'Art Celtique à Tréguier en 1929.
Provenance : ancienne collection de M. Prigent, Proviseur du Lycée de Tréguier de 1945 à 1959, aujourd'hui Lycée Joseph Savina. Voir le lot

Estimé 500 € - 600 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Robert MICHEAU-VERNEZ (Brest, 1907 - Le Croizic, 1989) pour Henriot Quimper.
Couple de Fouesnantais et leur petite fille.
GROUPE en faïence émaillée polychrome signé sur la terrasse "R.MICHEAU-VERNEZ" et au revers "Henriot / Quimper.
Hauteur : 39,5 cm. Largeur : 31,5 cm. Profondeur : 16,5 cm. (Sauts d'émail).
Créé en 1940 à Bastia, ce groupe emblématique de l'oeuvre de Robert Micheau-Vernez est achevé à Quimper en 1941. Voir le lot

Estimé 1 000 € - 1 500 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Berthe SAVIGNY (Quimper, 1882 - Pont-Aven, 1958) pour la manufacture HB QUIMPER.
Le Marché.
Rare et important sujet en grès émaillé polychrome de la période Odetta.
Signé au revers HB Quimper B. Savigny +
Hauteur : 28,5 cm. Longueur : 19 cm. Largeur : 20 cm.
Bibliographie :
BJ Verlingue - P Théallet, Encyclopédie des céramiques de Quimper, tome V,
éd. de la Reinette, 2007. Modèle similaire reproduit page 357. Voir le lot

Estimé 500 € - 800 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Jim SEVELLEC (Camaret, 1897 - Brest, 1971), peintre de la Marine en 1936, pour HENRIOT à Quimper.
Important CACHE-POT de forme balustre en faïence à décor polychrome de danseurs bigoudens encadrés d'un motif tartan. Base en quart-de-rond à frise d'arcatures, étoiles et fleurettes. Signé.
Hauteur : 31,7 cm. Diamètre : 31 cm.
Provenance : collection particulière, Corseul.
D'après nos recherches, ce vase n'est pas référencé. Nous pouvons ainsi, à ce jour, le considérer comme unique. Voir le lot

Estimé 800 € - 1 200 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : René BEAUCLAIR ( Montauban 1877 - 1960) Ludovic Jean Joseph Marie Popineau dit, pour la manufacture HB à Quimper.
VASE de la série ODETTA en grès émaillé polychrome à décor géométriques.
Signé au revers 653 et g en creux sous couverte et HB Quimper René Beauclair et numéroté "n°653-1371".
Hauteur : 17,5 cm. Diamètre : 23 cm.
Bibliographie :
BJ Verlingue - P Théallet, Encyclopédie des céramiques de Quimper, tome IV, éd. de la Reinette, 2005. Modèle similaire reproduit page 72.
Voir le lot

Estimé 3 000 € - 5 000 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Jean-Georges CORNELIUS (Paris, 1880 - Ploubazlanec, 1963).
"Terreur de l’Asie", 1927
Huile, gouache et fusain sur carton.
Hauteur : 63,5 cm. Largeur : 45,5 cm.
Cette oeuvre, qui fait partie d'une suite de douze, est réalisée par Cornélius afin d’illustrer "Les paradis artificiels", de Charles Baudelaire. Cet ouvrage enrichis de dix oeuvres retenues, dont "Terreur de l'Asie", paraît en 1933 aux éditions Javal et Bourdeaux. (Olivier Levasseur, Jean-Georges Cornélius, un primitif du XXème siècle, Rennes : éditions Apogée, 2009, p. 50).
Provenance : Galerie Marie Watteau, Salon du Pavillon, Paris, 2008.
Plongeons-nous dans la lecture des chapitres IV, "Tortures de l’opium" et V, "Un Faux Dénouement" :
"L’espace s’enfla, pour ainsi dire, à l’infini. D’étonnantes et monstrueuses architectures se dressaient dans son cerveau (...) rêves de terrasses, de tours, de remparts, montant à des hauteurs inconnues. (...) J’étais chaque nuit transporté par cet homme au milieu de tableaux asiatiques. (...) J’ai souvent pensé que, si j’étais forcé de vivre en Chine, parmi (...) les décors de la vie chinoise, je deviendrais fou. (...) Mon sommeil est tumultueux, (...) il est toujours, comme dit le vers effrayant de Milton : Encombré de faces menaçantes et de bras flamboyants.".
Difficile d'imaginer meilleur pinceau pour illustrer cette oeuvre si singulière de Baudelaire. Il fallait bien ici un peintre mystique, habité, pour traduire le rêve, l'angoisse, l'euphorie, le délire. Cornélius livre ici ce que seule une âme cultivée peut faire. Ame qui se donnera presque toute entière au Christ lorsqu'il se convertira au catholicisme quatre ans plus tard. Le terme d'illustration est dans ce cas réducteur, quasiment innaproprié, puisque c'est toute l'essence de l'oeuvre littéraire qui est là, sous nos yeux. "Il faut essayer (...) de se mettre à la place des personnages, de s’en pénétrer, sans cela vous tombez dans le banal et le déjà-vu" (Lettres à une Carmélite). Ces tableaux nous rappellent à quel point Cornélius est un coloriste de génie. Sans aucun compromis, sans volonté aucune de séduire, voilà l'exacte traduction d'un dialogue, d'une pénétration intérieurs : "Nous sommes seuls à entendre la musique qui accompagne notre pensée, et les mots que nous disons et ce qui compte, c’est l’émotion et la passion de cette musique" (Ibid). L'artiste répond étonnamment ici au poête qui file la métaphore musicale dans cet ouvrage : "Les sons se revêtent de couleurs, et les couleurs contiennent une musique". Cornélius écrit comme peint Baudelaire. Voir le lot

Estimé 3 000 € - 5 000 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Jean-Georges CORNELIUS (Paris, 1880 - Ploubazlanec, 1963).
"Le Malais", 1927.
Huile, gouache et fusain sur carton.
Hauteur : 62,5 cm. Longueur : 44 cm. A vue.
Cette oeuvre, qui fait partie d'une suite de douze, est réalisée par Cornélius afin d’illustrer "Les paradis artificiels" (1860), de Charles Baudelaire. Cet ouvrage enrichis de dix oeuvres retenues, dont "Le Malais" paraît en 1933 aux éditions Javal et Bourdeaux. (Olivier Levasseur, Jean-Georges Cornélius, un primitif du XXème siècle, Rennes : éditions Apogée, 2009, p. 50).
Provenance : Galerie Marie Watteau, Salon du Pavillon, Paris, 2008.
Plongeons-nous dans la lecture du chapitre IV, "Tortures de l’opium" :
Le Malais, "jaune et bilieux, illuminé de petits yeux mobiles et inquiets (...) montra bien qu’il connaissait l’opium, et il ne fit qu’une bouchée d’un morceau qui aurait pu tuer plusieurs personnes.". Il "le tourmentait cruellement ; c’était un visiteur insupportable. (...) Le Malais était devenu l’Asie elle-même ; l’Asie antique, solennelle, monstrueuse et compliquée. (...) Cette image appelait naturellement l’image voisine de l’Inde, si mystérieuse et si inquiétante (...) ; et puis la Chine et l’Inde formaient bientôt avec l’Egypte une triade menaçante, un cauchemar complexe, aux angoisses variées. Bref, le Malais avait évoqué tout l’immense et fabuleux Orient.".
Difficile d'imaginer meilleur pinceau pour illustrer cette oeuvre si singulière de Baudelaire. Il fallait bien ici un peintre mystique, habité, pour traduire le rêve, l'angoisse, l'euphorie, le délire. Cornélius livre ici ce que seule une âme cultivée peut faire. Ame qui se donnera presque toute entière au Christ lorsqu'il se convertira au catholicisme quatre ans plus tard. Le terme d'illustration est dans ce cas réducteur, quasiment innaproprié, puisque c'est toute l'essence de l'oeuvre littéraire qui est là, sous nos yeux. "Il faut essayer (...) de se mettre à la place des personnages, de s’en pénétrer, sans cela vous tombez dans le banal et le déjà-vu" (Lettres à une Carmélite). Ces tableaux nous rappellent à quel point Cornélius est un coloriste de génie. Sans aucun compromis, sans volonté aucune de séduire, voilà l'exacte traduction d'un dialogue, d'une pénétration intérieurs : "Nous sommes seuls à entendre la musique qui accompagne notre pensée, et les mots que nous disons et ce qui compte, c’est l’émotion et la passion de cette musique" (Ibid). L'artiste répond étonnamment ici au poête qui file la métaphore musicale dans cet ouvrage : "Les sons se revêtent de couleurs, et les couleurs contiennent une musique". Cornélius écrit comme peint Baudelaire. Voir le lot

Estimé 2 000 € - 3 000 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Lionel FLOCH (Quimper, 1895-1972)
Retour de pêche à Concarneau
Huile sur toile signée en bas à droite.
Hauteur : 73 cm. Largeur : 60 cm.
Provenance :
- Collection Louis Le Restif (Saint-Brieuc, 1883-1968) qui note dans son catalogue "Offert par souscription au Président Le Restif par les Sociétés Cyclistes de Bretagne".
- Par leg, collection du pays Fisel depuis plus de 50 ans. Voir le lot

Estimé 1 800 € - 2 200 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Ernest GUERIN (Rennes, 1887 - Quiberon, 1952)
"La Croix de Saint Cado"
Aquarelle signée et titrée en bas à droite.
Hauteur : 26,3 cm. Largeur : 34,4 cm.
Il s'agit ici du calvaire de Pen er Pont, à Saint-Cado, sur la ria d'Etel. Voir le lot

Estimé 1 500 € - 2 000 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Ernest GUERIN (Rennes, 1887 - Quiberon, 1952)
"Pardon à Saint-Trémeur" (Guilvinec)
Aquarelle signée et située en bas à droite.
Hauteur : 25,8 cm. Largeur : 34 cm
Provenance : collection particulière, vallée de la Rance. Voir le lot

Estimé 400 € - 500 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Henri RIVIERE (Paris, 1864 - Sucy-en-Brie, 1951)
Le bois de hêtres à Kerzardern, 1917.
Planche de la série Le Beau Pays de Bretagne.
Lithographie : Hauteur : 23,1 cm. Largeur : 35,8 cm.
Avec marges : Hauteur : 50,5 cm. Largeur : 65,4 cm.
Signature « Henri Rivière » en bas à gauche, cachet L 1361 en rouge en bas à gauche, Imprimerie Henri Chachoin, successeur d’Eugène Verneau.
Infime déchirures en pied droit de marge, toutes marges.
Levasseur-Le Bohec : Lith 97
Voir le lot

Estimé 600 € - 700 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Henri RIVIERE (Paris, 1864 - Sucy-en-Brie, 1951)
Le Trieux à Kermarie 1912.
Planche de la série Le Beau Pays de Bretagne.
Lithographie : Hauteur : 22 cm. Largeur : 35,5 cm.
Marges : Hauteur : 50,5 cm. Largeur : 65,9 cm.
Signature imprimée « Henri Rivière » en bas à droite, cachet L 1361 en bas à droite, Imprimerie Henri Chachoin, successeur d’Eugène Verneau.
Belle épreuve sur vélin ivoire, infimes rousseurs en marge.
Levasseur-Le Bohec : lith 92
Voir le lot

Estimé 600 € - 700 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Henri RIVIERE (Paris, 1864 - Sucy-en-Brie, 1951)
Loguivy le soir, 1904.
Planche de la série Le Beau Pays de Bretagne.
Lithographie : Hauteur : 23 cm. Largeur : 35,2 cm.
Avec marges : Hauteur : 49,8 cm. Largeur : 64,6 cm.
Signature imprimée « Henri Rivière » en bas à droite, cachet L 1361 en bas à droite, Imprimerie Eugène Verneau.
Belle épreuve sur vélin ivoire, toutes marges.
Levasseur-Le Bohec : Lith 84
Voir le lot

Estimé 800 € - 1 200 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Henri RIVIERE (Paris, 1864 - Sucy-en-Brie, 1951)
"Soir d'été", 1897. Planche V de la suite "Aspects de la Nature".
Lithographie portant signature imprimée et cachet en bas à droite.
Hauteur : 54,5 cm. Longueur : 83 cm. A vue. Voir le lot

Estimé 600 € - 800 €
Par Karl Benz à Quintin le 29/06/2024 : Eugène BEGARAT (Quingey, 1944)
La petite Bretonne
Huile sur toile signée en bas à gauche.
Hauteur : 33 cm. Largeur : 41 cm. Voir le lot