
Adjugé 550 000 €
Par AuctionArt Remy Le Fur & ass à Paris
le 15/12/2020 : Leonora CARRINGTON (1917-2011)
Le Repas de Lord Candlestick, 1938
Huile sur toile signée en bas à droite
46 x 61 cm
Expositions :
- Amsterdam, Galerie Robert, Exposition Internationale du Surréalisme, 1938,
n° 21.
- Londres, Serpentine Gallery, Léonora Carrington, 1991, n° 4.
- Monterrey, Muséo de Arte Contemporaneo, 2-30

Adjugé 400 000 €
Par SVV MILLON & ASSOCIES à Paris
le 02/12/2020 : POUR CE LOT, LES ENCHERES SERONT PORTEES EXCLUSIVEMENT SUR ORDRE D’ACHAT OU PAR TELEPHONE
Pour s’enregistrer, contacter artcontemporain@millon.com
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Günther FORG (1952-2013)
Sans titre, 2007
Acrylique et craie sur toile signée et datée en haut A droite
195 x 300 cm
Provenance :
Galerie Lelong, Paris
Collection particulière, Paris
Bibliographie :
Günther FOrg, Hôtel des Arts, Centre Méditeranéen d'Art Conseil Général du Var, Toulon, 26.06.-09.09.2007. p. 23 p. 40/41 p. 82
Cette oeuvre est enregistrée dans les archives Günther FOrg sous le n WVF.07.B.0122
Nous remercions Monsieur Michael Neff, de l'Estate of Günther FOrg, pour les informations qu'il nous a aimablement communiquées sur cette oeuvre

Adjugé 360 000 €
Par CORNETTE DE SAINT CYR MAISON DE VENTES à Paris
le 14/12/2020 : 14.
JEAN-MICHEL BASQUIAT (1960-1988) Sans titre, 1982.
Pastel et encre dorée sur papier. Signé au dos.
Oilstick and golden ink on paper. Signed at the back.
56 x 76,6 cm - 22.04 x 30.15 in.
250 000 / 350 000 €
Provenance/Herkomst:
Gemini Gallery, New York
Collection particulière (acquis auprès de la galerie précitée en 1988).
Un certificat de l’Estate Jean-Michel Basquiat, en date du 14 février 2013, sera remis à l’acquéreur.
Cornette de Saint Cyr Paris

Adjugé 260 000 €
Par Osenat Fontainebleau à Versailles
le 06/12/2020 : PIERRE BONNARD (1867-1947)
Portrait de femme (Renée Monchaty), vers 1920
Huile sur toile
Signé en haut, à droite
43 x 34 cm
Bibliographie :
- Dauberville Jean et Henri, Bonnard, catalogue raisonné de l’oeuvre peint, éd. Bernheim Jeune, Paris, 1973.
- Décrit et reproduit sous le n°1036, p 62. du Tome III (Tome 1 révisé et augmenté)
- Terrasse Antoine, Bonnard la couleur agit, ed. Gallimard, Paris, 1999, reproduit p. 76.
- Connaissance des Arts, Hors-série, Bonnard en Normandie, 2011, reproduit p.8
- Osenat, Bonnard, collection Antoine Terrasse, vente 29 mars 2015, Fontainebleau, n°65, reproduit p. 113.
Expositions :
- Pierre Bonnard, Galerie Schmit, Paris, 3 mai-12 juillet 1995, n°32.
- Bonnard en Normandie, Musée des Impressionnistes, Giverny, 1er avril-3 Juillet 2011, n°3, reproduit p. 46.
Provenance : Acquis par Bernheim Jeune en 1922 à l’artiste puis vendu à Laroche
Pierre Bonnard et Renée Monchaty
Dans les années 1914-18, Bonnard a deux liaisons connues avec des femmes qui furent ses modèles, Lucienne Dupuy de Frenelle entre 1914 et 1917 et Renée Monchaty qu’il rencontre comme modèle en 1916 et devient sa maitresse au plus tard en 1918.
En 1921, Pierre Bonnard et Renée Monchaty passent deux semaines ensemble à Rome et un mariage est envisagé.
Mais Pierre Bonnard réalise qu’il est incapable d’abandonner Marthe, rencontrée en 1893 et l’épouse en toute discrétion le 13 aout 1925. Renée Monchaty se suicide trois semaines après.
Marthe exige alors que Pierre Bonnard détruise toutes les oeuvres représentant Renée.
Très peu de portraits de Renée Monchaty nous parviendront :
On la retrouve entre autres dans le tableau la cheminée de 1916 ou dans Jeunes femmes au jardin (toile peinte vers 1921-23 et terminée en 1945-46, après la mort de Marthe) et dans quelques très rares portraits dont celui-ci, auquel Antoine Terrasse attachait une très grande importance.
Renée MONCHATY, le dernier amour de Pierre Bonnard
Il la rencontre alors qu’elle est la compagne du peintre américain Harry Lachman.
Elle est blonde, jeune, gaie, belle. Elle devient son modèle. Ils tombent amoureux. Bonnard l’emmène secrètement à Rome en 1921. Guy Coffette, dans son livre «Elle, par bonheur, et toujours nue», commenta ainsi cette escapade: «Une quinzaine en liberté, hors de l’étouffante présence de Marthe, pour souffler un peu, respirer autrement l’air des rues pleines de soleil et d’ombres fraîches comme des fontaines ; pour avoir vingt ans à nouveau et folâtrer au bras d’une blonde en robe légère, aussi blonde que Marthe est brune, aussi rieuse qu’elle est triste, aussi lumineuse qu’elle est éteinte…».
Il la peint, la dessine sans cesse. Antoine Terrasse, qui acquit ce tableau en sa mémoire, écrivit d’elle : « C’est son visage délicat, ce sont ses yeux rêveurs qui surprennent et émeuvent. Elle court entre les pages de ses carnets de dessin. Elle déguste une coupe de glace au restaurant, elle lit au coin d’une table, se repose dans un fauteuil, se mêle aux passants d’une rue de Rome. Elle lui sourit, assise dans le jardin. Elle est l’héroïne, pour les dessins, des Notes sur l’amour de Claude Anet ».
Renée Monchaty fut le dernier amour de la vie de l’artiste, et la façon dont il l’a représentée témoigne du rayon de soleil qu’elle fut pour lui.
Renée Monchaty, Pierre Bonnard’s last love
Pierre Bonnard met Renée Monchaty, the subject of the present work, while she was in a relationship with the American painter Harry Lachman.
Blonde, young, happy and beautiful, Monchaty became Bonnard’s model. They fell in love. He brought her secretly to Rome in 1921. Guy Coffette, in his book ‘Elle, par bonheur, et toujours nue’, comments this escapade: “Two weeks of freedom, without Marthe’s suffocating presence, to breathe, and enjoy the sun and fountain-fresh shades of the streets; enjoy being twenty again and fooling around with a short dressed girl at my arm, as blonde as Marthe is brunette, as playful as she is sad, as lively as she is dull…”.
He paints and draws her tirelessly. Antoine Terrasse, who acquired the present work in her memory, wrote about her: “It is her delicate face, her wistful eyes which surprise and move. She runs through the pages of his notebooks. She savors ice-cream at the restaurant, reads at the corner of a table, rests in a sofa, mixes with strollers in Roman streets. She smiles at him, sitting in the garden. She is the heroin, in his drawings, of ‘Notes sur l’amour’ by Claude Anet.”
Renée Monchaty was Bonnard's last love, and her depiction expresses the light beam she represented for the artist.

Adjugé 201 000 €
Par THIERRY-LANNON et Associés à BREST
le 12/12/2020 : Henri MARTIN (1860-1943) "Automne, entrée principale de Marquayrol" hst sbd 80,9 x 130,4 cm. Provenance : Collection particulière, France Expositions : Pittsburgh, Carnegie Institute « International Exhibition », 1913, Catalogue N°260. Salon des Artistes Français, 1912, N°1253.
Un certificat de Monsieur Cyril Martin (petit-fils de l artiste) daté du 05/08/12014, et une attestation d inclusion au Catalogue Raisonné accompagnent cette uvre et seront remis à l acquéreur. Expert : Eric Schoeller
A T T E N T I O N : CE LOT NE POURRA ETRE SUIVI SUR LE LIVE. SEULS LES ORDRES D’ACHAT CONFIRMES PREALABLEMENT, PAR INSCRIPTION AUPRES DU SECRETARIAT, PERMETTRONT LES ENCHERES A DISTANCE UNIQUEMENT PAR TELEPHONE, ET APRES ACCEPTATION. NOUS INSISTONS EGALEMENT SUR LE FAIT QUE LES ENCHERES PAR TELEPHONE POURRONT LE CAS ECHEANT ETRE DOUBLEES D’UN ORDRE FERME, A DEFAUT DE POUVOIR ETRE JOINT, POUR DES RAISONS TECHNIQUES OU DE RESEAU, CE DONT L’OVV NE POURRA ETRE EN AUCUN CAS TENU POUR RESPONSABLE.

Adjugé 170 000 €
Par Osenat Fontainebleau à Versailles
le 06/12/2020 : PIERRE BONNARD (1867-1947)
Enfants solfiant, Charles et Jean Terrasse, vers 1900
Huile sur carton marouflé sur panneau
Signé et daté 1900 en haut à gauche
44,5 x 53,5 cm
Bibliographie :
- Dauberville Jean et Henri, Bonnard, catalogue raisonné de l’oeuvre peint, éd. Bernheim Jeune, Paris, 1966-1992, décrit et reproduit sous le n°208, p.221 du Tome V (Tome 1 révisé et augmenté)
- Terrasse Antoine, Bonnard la couleur agit, ed. Gallimard, Paris, 1999, reproduit p. 38 et décrit p.138
- Osenat, Bonnard, collection Antoine Terrasse, vente 29 mars 2015, Fontainebleau, n°34, reproduit p. 68
Exposition :
Pierre Bonnard, Musée Maillol, Paris, 31 mai-9 octobre 2000, n°21
Provenance :
Ancienne collection Fabre, Marseille

Adjugé 162 000 €
Par CORNETTE DE SAINT CYR MAISON DE VENTES à Paris
le 14/12/2020 : 10. EVELYNE AXELL (1935-1972) La prisonnière, 1968.
Peinture sur clartex et feuille d'aluminium fixée sur toile. Signée en bas à droite.
Contresignée, datée et titrée au dos.
Cachets de l'artiste sur le châssis et sur la toile.
Verf op clartex en aluminium blad bevestidg op doek.
Rechts onderaan gesigneerd.
Achteraan gesigneerd, gedateerd en getiteld.
Stempels van de kunsternares op het spieraam en op de doek.
65,5 x 46,5 cm
70 000 / 100 000 €
Exposition/Tentoonstelling:
- Galerie Foncke, Gent, du 26/04 au 9/05/1969.
- "Evelyne Axell, méthodes Pop", Delta, Namur, du 21/09/19 au 26/01/20.
Bibliographie/Bibliografie:
Evelyne Axell, Le Pop Art jusqu'au paradis, p.114 n°125
Somogy Editions d'art, 2004.
L'œuvre est référencée sous le titre erroné de "5 à 7". Elle fait partie d'une série d'œuvres disparues en 1972 suite à l'exposition de la Galerie Foncke à Gand.
Cornette de Saint Cyr Bruxelles

Adjugé 111 000 €
Par SARL DELOYS à ANGERS
le 10/12/2020 : ECOLE FLAMANDE vers 1550, entourage de Joachim Patinir.
"La prédication de saint Jean-Baptiste", panneau doublé parqueté. 22,6 x 32 cm (petites restaurations anciennes)
Chacun est invité à déambuler dans ce paysage comme tout pèlerin ayant accosté en Terre sainte. Après une démarche pénitentielle dans l'obscurité des rochers, nous voilà appelés vers la lumière par les paroles de Jean-Baptiste.
"... La gloire de Jean se tire de sa prédication ...il prêcha en effet avec ferveur, avec efficacité et avec prudence" nous dit la Légende dorée. Selon les Evangiles, il prêchait à une grande foule qui venait de Jérusalem et des environs. Le thème, commun à l'église catholique et à l'église réformée, est très répandu dans la Flandre du XVIème siècle et certains y voient une image des prêches clandestins des réformateurs.
De manière inhabituelle le saint est vu ici de dos, faisant corps avec l'arbre verdoyant, force vive qui domine une vue panoramique à laquelle il donne toute sa profondeur. Vêtu de poil de chameau, Jean prend appui sur une perche qui limite son espace de parole suivant une iconographie traditionnelle. Au second plan, au bord du fleuve, il est représenté baptisant Jésus à "Béthanie, au-delà du Jourdain" selon les Ecritures. Alors le "ciel s'ouvrit, et l'Esprit Saint descendit ...comme une colombe".
Devant la porte de la cité, autre passage symbolique, est représenté le martyre de Jean-Baptiste: ayant condamné publiquement Hérode pour avoir pris la femme de son frère, Hérodiade, il est mis en prison. Hérodiade, pour se venger, fit demander sa tête par sa fille Salomé qui l'obtint en présent après avoir charmé Hérode de sa danse. On la voit ici descendre l'escalier tandis que le bourreau s'apprête à décapiter le Baptiste.
Ses disciples portèrent son corps à Sébaste, au Nord de Jérusalem, qui devint un lieu de pèlerinage où se produisirent de nombreux miracles. Pour mettre fin à cette notoriété, Julien l'Apostat fit subir au saint un "second martyr", procédant à la collecte et la crémation de ses ossements. L'épisode, représenté ici aux portes de la ville est à l'origine de nos feux de la Saint-Jean.
Expert : Cabinet TURQUIN
Vidéo de présentation du lot : https://bit.ly/2Jas43O
Rapport d'état : Ajout d'une bande de bois de 5mm en haut et d'une bande de bois de 5 mm en bas. Griffure sur le château à gauche au second plan, petites taches noires sur l'ensemble du tableau. Ancien accident sur l'angle au niveau de la scène du baptême, sur le sommet de la montage derrière la scène du baptême et dans l'angle en bas à gauche.
Aux UV : petites tâches noires au premier plan, quelques feuilles dans l'arbre à gauche sont rehaussées, anciennes restaurations dans le bleu du ciel.
État général : tableau en bon état, beau réseau de craquelure et belle transparence des figures.
Le rapport de condition est établi à titre indicatif et gracieux par le Cabinet Turquin qui n'est pas un professionnel de la restauration et n'a procédé à aucun examen technique. Pour avoir de véritables indications sur l'état nous vous invitons à vous rapprocher d'un restaurateur professionnel.

Adjugé 81 000 €
Par HOTEL DES VENTES DE COULOMMIERS à Coulommiers
le 05/12/2020 : D'aprés Léonard de Vinci. Ancienne Copie de La Joconde ou Mona Lisa. Huile sur panneau parqueté (manques). 75 cm x 52,50 cm

Adjugé 72 000 €
Par KÂ- MONDO à Paris
le 02/12/2020 : Jean SOUVERBIE (1891-1981).
Nu allongé sur la plage.
Huile sur toile signée et datée 60 en bas à droite.
D. : 64 x 90 cm.
Provenance : Vente Allardi, Collection D.M. 15 novembre 2006.
Peintre mais aussi décorateur, J. Souverbie élabore un style incomparable qui associe au sens de l'harmonie des néoclassiques, les proportions de la statuaire grecque, l'esthétique de ses amis Nabis et l'expérience cubiste. Notre tableau est un exemple remarquable de cet art de l'équilibre entre ces inspirations à la fois contradictoires et complémentaires. L'intelligence et la maîtrise que Souverbie apporta à son art lui permit de s'exprimer dans des répertoires variés et d'obtenir des commandes prestigieuses pour de très grandes décorations. C'est à partir des années 1930 qu'il se consacre essentiellement à l'art monumental.
Au début des années 30, son style se classicise, comme celui de nombreux artistes de sa génération (Lhote,Severini, Survage ou Picabia). Ce «retour à l'ordre», réinterpretation de l'idéal classique devient un courant européen (Mouvement Valori Plastici en Italie). Souverbie se lie d'amitié avec Picasso qu'il rencontre en 1925 lors d'une exposition avec la Section d'or. Le peintre espagnol, de quelques années son aîné, influencera considérablement la conception artistique de Souverbie qui à partir des années 30 connait très rapidement une renommée nationale et internationale. Les deux artistes partagent un goût commun pour les nus aux formes géométrisantes découvrant des corps sculpturaux exhalant une sensualité non dissimulée, comme dans ce Nu allongé. Le visage fragmenté par les ombre, les hanches quadrangulaires et la lourde corpulence des formes dégagent néanmoins une féminité énigmatique que la lascivité imperturbable de la pose vient appuyer.
L'artiste dira à propos de son art : "Je n'ai fait que ce que j'aimais, c'est-à-dire des grosses dames nues qui ne foutent rien au soleil... Ces femmes qui ne font rien et qui attendent on ne sait quoi ; c'est une espèce de paradis sur terre. Elles sont heureuses. Elles ont chaud, elles sont à poil, elles sont satisfaites, elles sont terriblement indécentes et pas indécentes du tout, parce que ça dépasse l'indécence. C'est, je crois, tout ce que j'ai trouvé dans toute ma vie et que je n'ai pas cherché".
Souverbie fait partie de ces rares artistes qui furent considérés de leur vivant comme des figures tutélaires de l'art du XXème siècle. On trouve ses oeuvres dans les collections du Musée National d'Art Moderne de la Ville de Paris, du Musée d'Art de Philadelphie, du Musée des Beaux-arts de Boston et du Musée du Petit Palais à Paris.

Adjugé 66 000 €
Par SVV Henri ADAM à Tarbes
le 08/12/2020 : Ivan Constantinovich AIVAZOVSKY (1817-1900) "Voilier en haute mer au pavillon crétois" HST SBD signature en bas à droite en cyrillique et daté 1868 (deux restaurations au dos) 43 x 54 cm . Le bateau porte le pavillion grec-ottoman dit "de Candie" que les révoltés crétois ont pris comme symbole de leur lutte nationale à l'époque de création de cette oeuvre. Vendu avec certificat et étude de l'expert Guillaume ARAL à Nice : + 33 4 93 88 34 44, ci-joint en PDF sur le site. Un déposit de 5000€ est exigé pour pouvoir enchérir sur ce lot. (Ce tableau, sans prix de réserve, a été vendu 63000 € le 9 juin dernier et il est remis en vente sur folle enchère de l'acheteur. Le déposit a pour but d'éviter un tel désagrément et sera restitué aux candidats malchanceux dès le lendemain de la vente)

Adjugé 46 000 €
Par Rossini à Paris
le 08/12/2020 : MAI THU, 1906-1980
Jeune femme au bord de l'eau, 1942
aquarelle et gouache sur soie doublée sur carton
(insolation et rousseurs)
signée et datée en haut à droite
32,5x22 cm

Adjugé 40 000 €
Par KÂ- MONDO à Paris
le 02/12/2020 : Ghass ROUZKHOSH dit GHASS (né en 1964).
Echographie, 2017.
Technique mixte signée et datée en bas à gauche.
D. : 78 x 72 cm (cadre inclu).
Ghass ROUZKHOSH dit GHASS :
1984 : Ecole des Beaux-Arts.
1991 : Période 3 couleurs, Ghass peint avec 3 couleurs uniquement : le rouge, le noir et le blanc.
2010 : Période Jaune, Ghass décide d'introduire une nouvelle couleur dans sa peinture, le jaune, comme un signe de renaissance
2015 : La première sculpture monumentale « PEACE » installée à Paris lors de la FIAC, la première d'une série de 13 à travers le monde telle une chaine internationale pour la Paix
2016 : Une nouvelle couleur voit le jour, le bleu, par la création d'une art car exceptionnelle. Ghass transforme une Alpine A450, Championne d'Europe d'Endurance 2013 et 2014 et l'intègre ainsi dans la longue et prestigieuse lignée des arts car des 24h du Mans après celle de Frank Stella, Andy Warhol ou encore Jeff Koons.
2017 : Période Bleu, Le bleu est une manière pour lui d'apporter l'oxygène dont le monde a besoin.
2017 / 2018 /2019 /2020 : Réalisation du trophée de prestige pour le meilleur joueur de Ligue 1.
2021 / 2022 : Installation de la 2ème Sculpture monumentale à Paris
Projet NOWALL en partenariat avec le groupe Amorim et Musée d'art contemporain de Porto

Adjugé 37 000 €
Par MARAMBAT- de MALAFOSSE sarl à Toulouse
le 03/12/2020 : Jean-Pierre PINCEMIN (1944-2005)
Sans titre, 1983
Huile sur toile, signée et datée au dos et référencée 62
195 x 196 cm.
Provenance:
- Galerie de France, Paris
- Galerie Eric Dupont, Toulouse

Adjugé 225 000 €
Par HOTEL DES VENTES DU MARAIS à Saint-Étienne
le 03/12/2020 : Bas-relief en ivoire sculpté et découpé représentant la Déploration du Christ. Au premier plan, le Christ est étendu nu sur le suaire, la tête légèrement renversée vers l’arrière, les jambes repliées et croisées - visage aux yeux clos, à la bouche entrouverte, encadré par une chevelure dont les mèches ondulées et bouclées s’étalent de part et d’autre - agenouillée à ses pieds, Marie-Madeleine baise le genou droit du Christ, une tresse s’échappant de sa chevelure - à gauche, la Vierge en prière soutenue par saint Jean, au-dessus, trois saintes Femmes aux expressions de grande affliction, une tenant un clou de la Crucifixion - à la tête du Christ, Nicodème, accroupi, plonge sa main dans un pot à onguents tandis qu’à ses pieds, Joseph d’Arimathie se tient debout, la tête coiffée d’un turban. - Allemagne du sud, Souabe, attribué Léonard Kern (Forchtenberg, 1588 – Schwäbisch Hall, 1662), vers 1615-1620 - Hauteur : 23,6 cm - Largeur 35,5 cm – Profondeur : 2 cm - Dans un cadre sur fond de velours noir - (légers accidents au cadre)-Expert :Laurence FLIGNY 15, Avenue Mozart 75016 PARIS Tél. : 01.45.48.53.65 - E-mail : laurencefligny@aol.com - - -

Adjugé 148 000 €
Par BLANCHET & ASSOCIES à PARIS
le 04/12/2020 : Panneau en ivoire épigraphié, très probablement pour l’émir Bashtak, vers 1334-39 .
Egypte mamelouke, première moitié du XIVe siècle.
Superbe élément d’applique formant un cartouche rectangulaire, en ivoire d’éléphant (Elephantidae spp) finement sculpté et ciselé, orné d’une longue inscription en écriture thuluth se détachant en relief sur un fond de rinceaux tournoyants de palmettes, et ceinturé par une fine baguette de bois insérée dans l’ivoire.
Dimensions du panneau d’ivoire : 8,3 x 29,3 cm
L’inscription : mimma ‘umila bi-rasm al-maqarr al-ashraf al-‘ali al-mawlawi. (Voici qui a été fait pour son Excellence, très noble et élevée, le maître) Le panneau d’ivoire est encadré ultérieurement dans un large bandeau de bois incrusté de plusieurs lignes de zigzag en ivoire d’hippopotame et bois clair, formant ainsi une bande de chevrons ponctuée de petites incrustations triangulaires.
(Dimensions : 18 x 38,6 cm ; Epaisseur : 0,7 cm) - Poids brut: 13646,7g
L’ensemble est fixé sur une planche de bois (18,7 x 39,5 cm, d’épaisseur 1,5 cm), elle-même insérée dans un grand cadre de bois mouluré (36 x 56,5 cm). Au revers, vieille étiquette de collection ovale : « n° 3 Mme de Blignières », et autre étiquette octogonale effacée.
Ce double encadrement a été réalisé en Egypte, au Caire, vers 1876-80.
Spécimen conforme à l’AM du 4 mai 2017. Pour une sortie de l’UE, un CITES de ré-export sera nécessaire.
Etat : patine du panneau d’ivoire liée à la poussière. La baguette de bois date du XIXe siècle.
Provenance : Ernest Le Barbier de Blignières (1834-1900), son fils Maurice Le Barbier de Blignières (1869-1945), puis par descendance directe jusqu’à l’actuel propriétaire.
Exposition : Exposition des Arts Musulmans, Union Centrale des Arts Décoratifs, Pavillon de Marsan, Paris, 1903
Publié : Gaston Migeon, Max van Berchem et M. Huart, Exposition des Arts Musulmans. Catalogue descriptif, Paris, avril 1903, cat. n° 23, p. 9
Il se trouve que deux panneaux mamelouks en ivoire, conservés depuis 1968 au L.A. Mayer Museum de Jérusalem1968, furent récemment illustrés dans un catalogue Sotheby’s Londres (Select Works from the L.A. Mayer Museum for Islamic Art, Jerusalem, 27 octobre 2020, lot 64). Ils présentent une inscription en deux parties qui donne sur le deuxième panneau le nom de leur commanditaire, Sayf al-Din Bashtak al-Nasiri. L’inscription de ce second panneau indique : « al-amiri al-sayfi bashtak al-maliki al-nasiri » (L’émir Sayfi (Sayf al-Din) Bashtak (officier de) al-Malik al-Nasir). Or, le premier des deux panneaux du L.A. Mayer Museum est identique en taille, inscription et décor à celui de la collection Blignières présenté ici. Ces deux panneaux -celui de Blignières et celui du L.A. Mayer- faisaient manifestement partie de la même commande et étaient certainement destinés à être insérés dans le même élément de décor ou de mobilier (vantail de porte ou volet par exemple). Il est donc possible de présumer que le commanditaire du panneau de Blignières n’est autre que Sayf al-Din Bashtak al-Nasiri, un puissant émir mamelouk qui avait épousé l’une des filles du sultan al-Malik al-Nasir Muhammad (ibn Qalawun), et qui détenait la charge prestigieuse de « Chambellan de la Garde-Robe du sultan ». En 1334-39, Bashtak se fit construire au Caire une résidence dans la rue al-Mu’izz, le « Palais Beshtak » ou « Qasr Bashtak », qui fut restauré en 1983 par l’Institut d’archéologie allemand et qui constitue l’un des rares exemples survivants de l’architecture non-religieuse du Caire au XIVe siècle. Ernest le Barbier de Blignières, né et décédé à Paris (9 avril 1834-8 juillet 1900), était un haut fonctionnaire et homme politique français. Inspecteur général des finances, il fut nommé trois fois préfet de département en France puis s’installa au Caire en 1876 comme directeur de la Caisse de la dette publique égyptienne. Il fut alors nommé ministre des Travaux publics le 16 novembre 1878 dans le gouvernement de Nubar Pacha, poste duquel il démissionnera quelques mois plus tard, en avril 1879 (Marie-Laure Crosnier Leconte et Mercedes Volait, L’Egypte d’un architecte. Amboise Baudry (1838-1906), Somogy Editions d’Art, Paris, 1998, p. 96). « Collectionneur dans l’âme, Ernest de Blignières s’était passionné pour l’art arabe égyptien au même titre que son ami l’architecte Ambroise Baudry, et avait commencé à acquérir de nombreuses pièces parmi les innombrables objets que venaient, « presque chaque jour », lui proposer à domicile des marchands. Pour les restaurer, il employait à l’année des menuisiers italiens et maltais installés dans une annexe de son logement car, s’il achetait « avec discernement et avec goût », ses trouvailles étaient le plus souvent délabrées » (op.cit, p. 99). A son retour en France en 1881, Blignières entreprît de reconstruire sa propriété familiale en Bretagne, le château du Bot, et de le « remplacer par une construction neuve, aménagée pour recueillir les objets d’art rapportés du Caire. ». Sa collection incluait en effet nombre de coffres, cuivres, frises épigraphiques, panneaux incrustés d’ivoire et éléments de mobilier qu’il disposa dans son domicile parisien, au 80 rue de Grenelle, et sa propriété bretonne. Son ami Ambroise Baudry participa à l’aménagement des salons du Bot dans lesquels furent intégrés des éléments authentiques rapportés d’Egypte ainsi que des copies modernes de portes et de mobilier. Baudry et Blignières, tous deux sensibles au sort des monuments du Caire et concernés par la préservation du patrimoine cairote, contribuèrent à la mise en place d’un musée d’art arabe au Caire ainsi qu’à la création du Comité de conservation des monuments de l’art arabe (op.cit, p. 99-101). (Nous remercions Will Kwiatkowski pour la lecture de l’inscription de Sayf al-Din Bashtak ainsi que pour les renseignements sur le Palais Beshtak du Caire. Nous remercions Mercedes Volait, CNRS-INHA, de nous avoir signalé la photographie du salon d’Ernest de Blignières au Caire avant 1881)

Adjugé 200 000 €
Par Olivier Doutrebente à Paris
le 10/12/2020 : CHINE - Epoque QIANLONG (1736 - 1795)
Importante et rare paire de boites en forme de pêche de longévité en laque rouge, noir, vert et jaune sculpté, sur le couvercle d’un caractère «chun» printemps dans lequel se trouve Shoulao assis avec son cerf sous un pin, le caractère surmonte une coupe ornée des symboles auspicieux, noeud sans fin, perle, corail, lingzhi. Le tout est flanqué de deux dragons lovés à cinq griffes, entourés d’une frise de rinceaux. Les côtés ornés de neuf pêches de longévité ciselées de grecques et motifs stylisés parmi les branches de fleurs de pêchers et neuf
chauves-souris.
Dim. 46 x 46 x 16,5 cm
(Accidents, petits manques, manque les pieds).
Références :
- Une boîte ronde laquée jaune avec un décor similaire reproduite dans Lacquer
wares of the Qing dynasty, The complete collection of treasures of the Palace Museum, p.84
- Une boîte ronde laquée rouge avec un décor similaire reproduite dans Ibid.

Adjugé 195 000 €
Par Olivier Doutrebente à Paris
le 10/12/2020 : **CHINE - XVIIe / XVIIIe siècle
Importante et rare coupe libatoire en corne de rhinocéros de couleur miel et foncée figurant Zhang Qian assis dans sa barque en forme de tronc élancé. Il tient dans sa main un chasse-mouche et un livre. Son chignon est couvert d’une feuille de lotus. Le dessous de la barque est finement ciselé de vagues écumantes.
(Petits manques).
H. 14 cm - L. 39 cm. Socle en ivoire teinté vert formant vagues sur lesquelles vogue la barque posée sur un fin socle en bois.
(Manque le dessous du socle).
Références : - Jan Chapman, The Art of Rhinoceros Horn Carving in China, London, 1999. pl. 265.
- Thomas Fok, Connoisseurship of Rhinoceros Horn Carving in China, Hong Kong, 1999, pl. 78.

Adjugé 180 000 €
Par AuctionArt Remy Le Fur & ass à Paris
le 08/12/2020 : CHINE- DANS LE STYLE DE LA DYNASTIE DES SHANG
Verseuse zoomorphe "gong" muni d'un couvercle en bronze à patine verte
(restaurations)
H. : 19 cm. L. : 24,5 cm
Provenance : succession du professeur Pierre Bernades, Paris
Documents : ancien certificat en date du 29/04/2004
facture de la Galerie Mythes et Légendes, Paris, en date du 13/03/1984

Adjugé 170 000 €
Par CORNETTE DE SAINT CYR MAISON DE VENTES à Paris
le 14/12/2020 : 12. JEAN DUBUFFET (1901-1985) Masque de théâtre III, 1969.
Transfert sur polyester.
Monogrammé et daté sur le côté en bas à droite. Transfer on polyester.
Monogrammed and dated lower right (edge).
42,5 x 21 x 5 cm - 16.73 x 8.26 x 1.96 Hauteur avec socle : 49 cm
Height with the base : 19.29 in.
80 000 / 120 000 €
Provenance:
Galerie Creuzevault, Paris
Collection particulière, Paris (oeuvre acquise auprès de la galerie précitée en 1976)
Cette œuvre est reproduite dans le Catalogue des travaux de Jean Dubuffet: Tour aux figures, amoncellements, cabinet logologique, Fascicule XXIV, Max Loreau, Imprimeries Réunies, Lausanne, pour les Editions de Minuit, Paris. Œuvre reproduite sous le numéro 129 en page 132 de l'ouvrage.
Cette oeuvre a été réalisée le 6 mars 1969.
Cette oeuvre est montée d'origine sur une tige métallique enchâssée dans un socle en plexiglas. Cornette de Saint Cyr Paris

Adjugé 131 000 €
Par MARSEILLE ENCHÈRES PROVENCE- EMMANUEL DARD à Marseille
le 11/12/2020 : Vase balustre en porcelaine émaillée sang de b uf. Marque apocryphe Yongzheng sur la base. Chine, début XXe siècle. Hauteur : 23,5 cm. Provenance : ancienne collection d'un officier de l'artillerie coloniale en poste en Chine vers 1910. Expert : Cabinet ANSAS PAPILLON D'ALTON

Adjugé 110 000 €
Par Hôtel des Ventes Montpellier-Languedoc à Montpellier
le 12/12/2020 : Chine, Dynastie QING, époque Qian Long (1711-1799)
Marque gravée au revers dans un double cadre rectangulaire:
大清乾隆年制、圆明园、第二分
« Fabriqué à la période Qian Long, Palais d’été, deuxième atelier »
Bronze et émaux cloisonnés. Dimensions: 23,7 cm X 23 cm , haut : 2,6 cm.
Provenance : Collection française .
Plateau carré en bronze doré et émaux cloisonnés polychromes sur fond bleu
orné de fleurs et rinceaux. Il repose sur quatre pieds ajourés. Le fond du
plateau est bordé d’un liseré doré en relief, que l’on retrouve cernant la
bordure extérieure et marquant les angles.
La composition débute avec une rosace centrale répétant comme il se doit
plusieurs rangées de pétales autour d’un coeur entouré de rinceaux de fleurs
s’imbriquant. Puis, quatre lotus* sont disposés dans les deux axes passant
par le centre, formant un losange, lui-même encadré par deux fleurettes dans
chaque angle formant un octogone. Le tout sur fond de rinceaux. La fleur de
lotus est un symbole bouddhique apparenté à la fertilité, la perfection et la
pureté car elle s'élève du limon boueux et reste pourtant immaculée.
Le choix de cette composition est liée à différents aspects de la culture
chinoise comme l’ordre cosmique bouddhiste qui mentionne l’univers infini et
propose le mandala comme support de méditation déclinant inlassablement
les mêmes motifs visuels symboliques ; mais aussi comme le rayonnement
de la Chine (empire du Milieu) à partir de son centre.
Quand à l’octogone qui encadre la composition centrale, il nous rappelle que
le chiffre huit symbolise la prospérité en Chine mais aussi les huit rayons de
la loi bouddhique, les huit pétales de lotus, les huit trésors du Bouddhisme,
les huit piliers du ciel, les huit directions etc....
La technique du cloisonné est originaire de la péninsule arabique et gagne la
Chine au XIIIème siècle où elle obtient immédiatement beaucoup de succès.
Les artisans chinois s’approprient cette technique et deviennent des virtuoses
très rapidement. En effet, dès le XIVéme siècle les émaux de Pékin sont
célèbres jusqu’en Europe. Nous avons ici un exemple remarquable et raffiné
de la qualité de ce travail au XVIIIème siècle à la cour de l’empereur Qian
Long.
CR : Très légèrement convexe, petites lacunes aux angles et en bordure,
manque à un pied, petits sauts d’émail, bord sensiblement courbé. Expert : Mme Véronique PREVOT

Adjugé 74 000 €
Par Olivier Doutrebente à Paris
le 10/12/2020 : CHINE - Epoque YONGZHENG (1723 - 1735)
Importante et rare coupe en porcelaine émaillée polychrome à décor au centre de deux dragons entourant un caractère «shou» (longévité) stylisé en émail or sur fond rouge, parmi les nuages multicolores. L’aile décorée de huit grues en vol parmi les nuages. A l’arrière, la bordure est ornée de chauves-souris volant au-dessus des vagues écumantes. Au revers de la base, la marque de Yongzheng à six caractères en kaishu en bleu sous couverte.
(Au centre, une fêlure en étoile).
Diam. 54,5 cm.

Adjugé 200 000 €
Par SVV MILLON & ASSOCIES à Paris
le 07/12/2020 : CHINE, XVIIIe siècle
Important plat en porcelaine à décor de la famille rose
Le décor central composé de deux branches garnies de trois fleurs de pivoines aux tons respectivement orangés, rose et blanc. L'une des branches aux embouts encore bourgeonnant. Les feuilles sont émaillées en deux tons de vert pour démarquer la face du revers composé d'un vert plus vif. Deux papillons et quelques insectes virevoltent au dessus des fleurs s'apprêtant à s'y poser pour butiner.
Le pourtour est rythmé de quatres branches incluant pivoines et magnolias. La bordure est peinte à l'émail doré.
Le revers est agrémenté de vagues tumultueuses formant de l'écume sur laquelle flottent quelques fleurs et pétales de magnolias.
Au revers en partie centrale, une marque en bleu sous couverte lisant Da Qing Yongzheng Nian Zhi. Marque et époque concordant.
Parallèle en collections:
Pour un modèle de plat identique, présentant le même décor et la même marque, d'un diamètre annoncé de 54.3cm, voir les collections du Musée de Shanghai. Photos reproduisent dans : Zhou Lili, Série de recherches sur les collections du musée de Shanghai : porcelaine de Qing Yongzheng - Xuantong , Shanghai, 2014, p., pl.3-17.
Parallèle aux enchères:
Pour un plat en tout point identique mais dont le rapport de condition indiquait la bordure meulée, voir vente Piasa, Lundi 10 juin 2013. Drouot Richelieu, lot 215.
Diamètre : 54,5 cm
Légers manques d'émail à certaines fleurs en partie centrale. Quelques usures dans l'émail blanc.
CHINA, XVIIIth century.
Yongzheng mark and period.
A fine famille rose dish.
The central decoration of this dish consists of two branches adorned with three peonies in orange, pink and white respectively. One of the branches with the tips is still budding. The leaves are enamelled in two tones of green in order to differentiate its two sides, of which the reverse part is the brighter green. Two butterflies and a few insects fly above the flowers searching for nectar.
Four branches including peonies and magnolias are in rhythm magnifying the rim. The border is painted with gold enamel.
On the back side, tumultuous waves forming foam on which float a few flowers and petals of magnolias. In the central part, a mark in underglaze blue written Da Qing Yongzheng Nian Zhi.
Parallel in collections:
For an identical dish model with the same decoration and the same mark, with an announced diameter of 54.3cm, see the collection of Shanghai Museum, inventory number 3-17.
Parallel to the auction:
For a dish which is identical in every way but the condition report indicates grinding at the rim, see Piasa sale on Monday June 10, 2013. Drouot Richelieu, lot 215.
中國 十八世紀 雍正底款粉彩蝶戀花大盤
正面花卉局部缺釉,白地釉有磨損

Adjugé 131 000 €
Par SVV MILLON & ASSOCIES à Paris
le 07/12/2020 : CHINE, dynastie Tang
Statuette en bronze doré
représentant le bouddha assis en méditation en dhyanasana, la main droite en abhaya mudra, la main gauche posée sur son genou gauche. Une longue robe aux plis délicats est tenue par une ceinture nouée sur le torse, le visage présente une expression sereine, les oreilles aux lobes étirés, les cheveux rassemblés en paquets et de regroupant autour de l'ushnisha.
Provenance:
Dans la famille de l'actuel propriétaire depuis trois générations, ramenée de Chine au début du XXe siècle.
Hauteur : 17,2 cm
Trou et fissure au dos, manque à la base, un manque en partie arrière de la coiffe, défaut de cuisson et manque à l'avant de l'épaule droite, usures et manques à la dorure.
CHINA, TANG DYNASTY.
A gilt-bronze figure of Buddha.
中國 唐 銅鎏金釋迦牟尼佛坐像
背部穿孔、有缺、有磨損

Adjugé 97 000 €
Par AuctionArt Remy Le Fur & ass à Paris
le 15/12/2020 : Salvador DALI (1904-1989)
La prémonition des tiroirs, 1973
Bronze à patine verte, signée , E.A.
20,5 x 39 cm
L’horloge est une sculpture en bronze patiné, vert clair, conçue par Salvador Dali d’après un dessin daté de 1934, La prémonition des tiroirs. Réalisé par le sculpteur Onelio Vignando, le bronze a été fondu par la maison Valsuani, à Paris. L’œuvre a été éditée en huit exemplaires, auxquels s’ajoutent quatre épreuves d’artiste, par la galerie André-François Petit (Paris).
Un modèle spécial de montre, munie d’un mouvement électronique à diapason, a été construit par la maison Omega afin d’être inséré dans la sculpture. Notons que le haricot qui la surmonte se dévisse pour permettre de l’enlever.

Adjugé 45 500 €
Par HÔTEL DES VENTES DE BEAUNE à Beaune
le 05/12/2020 : Roger GODCHAUX (1878-1958)
"Eléphant brossé par un cornac"
Epreuve en bronze à la cire perdue à patine brun nuancé, signée sur la terrasse.
Inscriptions Susse Frères Editeurs Paris et cire perdue, cachet de fondeur sur la terrasse.
(Quelques usures sur la patine)
Haut.: 13,5 cm - Long.: 19,5 cm - Prof.: 8 cm.

Adjugé 36 000 €
Par Ader OVV à Paris
le 07/12/2020 : Evgueny Alexandrovitch LANCERAY (1848-1886)
Grande amazone
Bronze à patine couleur chocolat.
Signature de Lanceray « ЛѢП Е. ЛАНСЕРЕ » sur la terrasse avec la date de 1885.
Signature de Félix CHOPIN (1817-1892), fondeur à
Saint-Pétersbourg.
Hauteur : 45 cm ; terrasse : 45 x 26 cm
Bibliographie :
Evgueny LANCERAY. Albom skulpturnykh modeleï, édité par le Musée Historique. Moscou, 2011, page 248.
Au catalogue de la collection de sculptures de la Galerie Trétiakov, cette œuvre est donnée comme le portrait de la femme de N. P. Malioutine, propriétaire de haras.
Евгений Александрович ЛАНСЕРЕ (1848 - 1886)
Большая Амазонка
Бронза с коричневой патиной.
На поземе подпись : « ЛѢП Е. ЛАНСЕРЕ » с датой 1885 г. Клеймо отливщика «F Chopin».
Высота : 45 см ; Размер позема : 45 х 26 см
Библиография :
«Евгений Лансере. Альбом скульптурных моделей», ГИМ, Москва, 2011. Модель № 120, с. 248.
В каталоге собрания скульптуры Государственной Третьяковской Галереи отмечено, что это произведение является скульптурным портретом жены коннозаводчика Н. П. Малютина.
A bronze Amazon by Eugueny Alexandrovitch Lanceray, signed and dated

Adjugé 33 000 €
Par JAKOBOWICZ & ASSOCIÉS à VAUX-LE-PENIL
le 05/12/2020 : CHINE
Grande coupe
En argent
Reposant sur trois dragons marins Ao, le pourtour finement décoré d'une cérémonie d'offrandes en l'honneur d'un haut dignitaire, se déroulant à l'intérieur de son palais, ainsi qu'une revue militaire simulant une bataille
Grande finesse du décor en travail repoussé et ciselé
Les anses reprenant la forme de dragons déployés. Le couvercle orné de grappes de raisin, pampres de vignes et bambous, est surmonté d'un dragon émergeant des nuages.
Marque d'atelier Bao Sheng sur la base
Vers 1880-1900
Haut. 50 cm
Poids : 4,777 kg

Adjugé 132 000 €
Par ROUILLAC à Vendôme
le 05/12/2020 : François-Xavier LALANNE (Français, 1927-2008)
Lampe grand-échassier, circa 1990
en cuivre à patine rouge, bronze doré et verre sablé.
Monogrammé "FxL", cachet d'éditeur "Artcurial" et numéroté 13/900.
H. 61, L. 68, P. 35 cm.
Nous remercions l'atelier Lalanne qui a confirmé authenticité de cette uvre, enregistrée dans ses archives sous le numéro 2020/020.
Bibliographie :
A. BONY, "Meubles et décors des années 80", Editions du Regard, Paris, 2012. Exemplaire similaire reproduit p. 126.
Provenance :
- vente à Rennes, Me Jezequel, 23 octobre 2005,
- collection Pierre et Jocelyne Noury, Rennes.
Couple créateur, François-Xavier (1927-2008) et Claude Lalanne (1925-2019) opèrent la magie d un art utile. Entre sculpture et arts décoratifs leur talent apprivoise un bestiaire composé de crocodiles, d'hippopotames, de moutons, de babouins et autres échassiers. Une véritable ménagerie qui se décline en baignoire, cheminée, siège ou encore lampe
Inspirés par les antiquités égyptiennes et par leurs maîtres Pompon et Brancusi, François-Xavier explore le monde animalier, Claude celui de la végétation. Découverts notamment par Yves Saint-Laurent ils s imposent peu à peu comme des artistes de dimension internationale.
Dans leur atelier d Ury près de Fontainebleau, le couple n a cessé de produire tout au long de sa vie des sculptures/objets devenus mythiques. C est le cas de cette "lampe échassier", dont la célébrité s est accrue lors de la vente Bergé / Saint-Laurent en 2009 puis grâce à la rétrospective Lalanne du Musée des Arts Décoratifs de Paris en 2010, sans oublier la vente de leur collection chez Sotheby's en 2019. Signe de génie, sa conception apparaît désormais comme une évidence. Elle était pourtant d une grande virtuosité, la gorge même de l animal est utilisée pour diffuser la lumière. Les ailes faites de métal font alors office d abat-jour, le volatile éclairant en même temps qu il produit son ombre.
Edité par Artcurial à neuf cents exemplaires, notre modèle demeure paradoxalement peu fréquent sur le marché, car n'ayant pas été édité dans sa totalité. Signe de la réévaluation de l uvre des Lalanne, de créateurs d objets à maîtres de la sculpture. Réévaluation aussi de l âme d un objet ayant désormais le statut d icône.

Adjugé 235 000 €
Par SVV MILLON & ASSOCIES à Paris
le 02/12/2020 : Diego GIACOMETTI (Borgonovo 1902 - Paris 1985)
Circa 1962.
Paire de chaises modèle "Fondation Maeght" en fer noir et bronze patiné brun A nuance verte.
Dossier ajouré d'un cercle, d'un X et d'entrelacs se prolongeant sur l'assise.
Coussin en cuir fauve.
93 x 35 x 42 cm
(une branche cassée et usures au cuir)
Provenance :
Succession Brassai (pseudonyme de Gyula Halasz)
Succession Gilberte Brassaï
Puis par voie de succession aux actuels propriétaires
Bibliographie:
Daniel Marchesseau, Diego Giacometti, Paris, 1986, reproduit pages 70 et 71 (autre exemplaire)
Daniel Marchesseau, Diego Giacometti, Sculpteur de meubles, Paris, 2018, page 177 (autre exemplaire)

Adjugé 145 000 €
Par BRISSONNEAU à Paris
le 10/12/2020 : 82- Jean-Michel FRANK (1893-1941)
Paire de fauteuil club entièrement recouverts de skaï beige. Piétement fuseau à angles saillants, coussins amovibles (skaï usagé).
H. 62,5 L. 63,5 Prof. 63 cm
12 000/15 000 €
- Prov. Mme Madeleine Chapsal, écrivain et journaliste.
- Bibl. Pierre-Emmanuel Martin-Vivier « Jean-Michel Frank », Éditions Norma, 2006, modèle similaire mais avec un revêtement différent rep. pp. 201et 289
Un certificat du Comité Jean Michel Frank sera délivré à l’acquéreur.

Adjugé 145 000 €
Par Ader OVV à Paris
le 09/12/2020 : JEAN DE CAPOUE.
Directorium humane vite alias parabole antiquoru(m) sapientu(m).
[Strasbourg : Johann Prüss, vers 1488.] In-folio, 276?x?196 : (82 ff.) [sif. ()1 a5 b-m6 n10] ; car. goth. 50 lignes. Veau fauve estampé à froid sur ais de bois, plats ornés d un encadrement fait de filets et d une roulette à motif de fleurs de lys, entourant un décor de compartiments ovales contenant en leur centre un motif de chardon, dos à nerfs (reliure de l époque).
Hain, 4411. - BMC, I, 125. - Goff, J-236.
EDITION PRINCEPS LATINE particulièrement recherchée des fables de Bidpaï, dans la traduction faite au XIIIe siècle par Jean de Capoue (12..-12..). Elle fut imprimée à Strasbourg à la fin des années 1480 par Johann Prüss (1447?-1510).
Bidpaï est le nom d un brahmane à qui l on attribue les premières rédactions d apologues qui servirent de modèles à la plupart des fabulistes. Ces apologues furent initialement composés en sanskrit et la plus ancienne rédaction connue a pour titre Pantchatantra. La version qui servit de modèle à toutes les autres est celle faite en arabe par Ibn Almokaffa sous le titre Kalila et Dimna, à partir de la traduction en pahlavi réalisée vers 570 par le médecin Barzoûyeh. L ouvrage fut par la suite traduit en persan, syriaque, grec et hébreu, et c est une version hébraïque que Jean de Capoue utilisa vers 1270 pour sa traduction.
Cette version latine est primordiale dans l histoire de ce livre, car elle est la source des traductions ou imitations en italien, allemand, français et espagnol. L édition princeps de ce texte parut à Urach chez Conrad Fyner vers 1481 dans la traduction allemande faite dans les années 1470 par Anton von Pforr (mort en 1483) d après la version latine de Jean de Capoue. Elle était illustrée de 128 gravures sur bois, dont certaines répétées, représentant des sujets animaliers, comiques et parfois licencieux.
Ces bois furent acquis par l imprimeur strasbourgeois Johann Pruss qui les utilisa en grande partie pour cette première édition latine. On y trouve effectivement 119 bois, certains répétés, dont 113 proviennent de la première édition d Urach. Toutes sont dans le texte à l exception de la première, représentant Jean de Capoue offrant l ouvrage au roi, qui est à pleine page.
Exemplaire complet, dont tous les bois ont été coloriés à l époque, certains cependant avec des rajouts postérieurs. On y trouve également une lettrine peinte en rouge.
Il existerait 4 tirages de cette édition, sans que l on sache vraiment lequel a la primeur sur les autres. Cet exemplaire fait partie du premier tirage cité par Goff, qu il nomme « a », c est-à-dire que les titres courants possèdent les numéros de chapitre imprimés en chiffres romains. Dans le second tirage qu il décrit, ces mêmes numéros sont en toutes lettres. D autres exemplaires sont composites et proposent des cahiers provenant de ces deux tirages.
Exemplaire remboité dans une reliure de l époque ornée d un décor estampé à froid typique de ceux réalisés dans la région de Strasbourg en cette fin de XVe siècle. Cassure au dos, restaurations sur les plats, sans les fermoirs. Plusieurs feuillets habilement restaurés et certainement lavés, suite à des déchirures, parfois avec atteintes au texte, mais sans manque. Rousseurs éparses et quelques salissures. Cachet effacé sous le titre.
Provenance : Jean-Baptiste Colbert de Beaulieu, avec ex-libris.

Adjugé 55 000 €
Par SARTHE ENCHERES sarl à Le Mans
le 12/12/2020 : FACULTE DE REUNION DES DEUX LOTS PRECEDENTS 89 ET 90 A SAVOIR:
"RARE TAPISSERIE DE LA TENTURE DES AMOURS DES DIEUX
Méléagre offrant la hure du sanglier de Calydon à Atalante.
Importante et rare bordure à décor de symboles des quatre éléments, des signes du zodiaque, des quatre saisons, des dieux de l'olympe.... dans des cartouches et des médaillons.
Ateliers du Faubourg Saint Marcel, sous la direction d'Hippolyte de COMANS avant 1662, d'après Laurent de LA HYRE (1650).
Milieu du XVIIème siècle (accidents et restaurations)
331 x 271 cm
Notes :
- Une tapisserie identique, avec des bordures différentes, est conservée dans les collections du Mobilier National (n° d'inventaire GOB-867-002).
- Une tapisserie représentant Diane et ses nymphes d'après Laurent de LA HYRE, avec des bordures identiques à la nôtre, est conservée au Metropolitan Museum of Art.
ET:
"RARE TAPISSERIE DE LA TENTURE DES AMOURS DES DIEUX
L'enlèvement d'Europe entourée ses suivantes et de deux amours dans un paysage boisé.
Importante et riche bordure à décor de symboles des quatre éléments, des quatre saisons, des signes du zodiaque, des dieux de l'olympe... dans des cartouches et des médaillons.
Ateliers du Faubourg Saint Marcel, sous la direction d'Hippolyte de COMANS avant 1662, d'après Laurent de LA HYRE.
Milieu du XVIIème siècle (accidents et restaurations).
335 x 317 cm
Notes :
- Une tapisserie identique, avec des bordures différentes, est conservée dans les collections du Mobilier National.
- Le tableau original de Laurent de La Hyre daté de 1644 est conservé au Houston Museum of Fine Arts.
- Une tapisserie représentant Diane et ses nymphes d'après Laurent de LA HYRE, avec des bordures identiques à la nôtre, est conservée au Metropolitan Museum of Art. "
Provenance : Collection des Princes de Mérode (château de RIXENSART - BELGIQUE), et selon la tradition familiale, de la collection des Ducs de CLERMONT-TONNERRE au château d'ANCY-LE-FRANC (YONNE).

Adjugé 700 000 €
Par SARL VICHY ENCHERES à Vichy
le 03/12/2020 : Exceptionnel violoncelle de Gennaro GAGLIANO fait à Naples probablement en 1756, portant étiquette de Janarius Gagliano. Petite cassure sur le fond et sur l'éclisse, petites piqures de vers sur la table rebouchées. 747mm.
Ce violoncelle a appartenu à Sir John Barbirolli. L'instrument est vendu dans son étui en bois de la maison Hill.
Exceptional cello by Gennaro GAGLIANO made in Napoli probably in 1756, labelled Janarius Gagliano. Small crack on the back and on the rib, Small traces of woodworm on the front which have been restored. 747mm. This cello belonged once to Sir John Barbirolli. The instrument is sold with its Hill s wooden case. This instrument is over 100 years old.
BE CAREFUL : the description in English is only indicative. Only the description in French will be valid for the guarantee.
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Adjugé 210 000 €
Par SARL VICHY ENCHERES à Vichy
le 03/12/2020 : Archet de violon de François Xavier TOURTE, vers 1810, monté argent. 57g5. Fin de noeud baguette et petite usure arrière, une rive coulisse postérieure et très léger éclat hausse. Très bon état. (ID 21102)
Violin bow by François Xavier TOURTE, silver mounted. 57.5g. Knot end on the shaft and slight wear on the handle, later bottom slide liner and very small chip on the frog. Very good condition. This instrument is over 100 years old.
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Adjugé 162 000 €
Par SARL VICHY ENCHERES à Vichy
le 03/12/2020 : Beau violon de Jean-Baptiste VUILLAUME fait à Paris en 1853 n°2073 en modèle Guarnerius del Gesu, portant étiquette et marque au fer de Vuillaume et son paraphe. Quelques restaurations sur la table dont une cassure d'âme. 357mm.
A handsome violin by Jean-Baptiste VUILLAUME made in Paris in 1853, no. 2,073, after Guarnerius del Gesu, labelled and branded Vuillaume and bearing his initials. Some restorations on the front including that of a soundpost crack. 357mm. This instrument is over 100 years old.
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Adjugé 59 500 €
Par Maison de Ventes Richard - HOTEL DES VENTES DE VILLEFRANCHE à Villefranche-sur-Saône
le 15/12/2020 : Costanzo da Ferrara (actif 1478/1485)
Médaille du sultan de Turquie 1481, école de Naples
Poids 492 gr
Diamètre 120 mm
Réf bargello 119
Hill 322
Armand p 78, 1
Fonte ancienne, proche de l'originale
Provenance de la famille Roquemaurel, vieille famille noble toulousaine

Adjugé 272 000 €
Par BARON, RIBEYRE ET ASSOCIES à Paris
le 08/12/2020 : VAN CLEEF & ARPELS
BRACELET MONTRE carrée de dame en platine (950) et or gris (750) entièrement serties de diamants taille brillant, rubis, émeraudes et onyx calibrés et suifés, à décor de deux oiseaux en vol. La lunette sertie d'un alignement de rubis bordé d'onyx. Le bracelet à motifs géométriques alternés de cinq maillons circulaires ajourés serti d'onyx, dont le fermoir.
Cadran gris (tâches), chiffres arabes. Mouvement mécanique.
Travail français, vers 1924-25. Dans le « Style égyptien ».
Signée VAN CLEEF & ARPELS et numérotée.
Cal.: 20 mm. Long. : 17,5 cm.

Adjugé 150 000 €
Par FRAYSSE ET ASSOCIES SAS à Paris
le 09/12/2020 : Bague en platine ornée d un diamant taille émeraude épaulé de deux diamants taillés en baguette.
Signée BOUCHERON Paris.
Poids du diamant : 7,47 ct
Tour de doigt : 48 - Poids brut : 6,72 g
Accompagnée d un rapport d analyse du LFG d octobre 2012
indiquant : couleur E - Pureté VVS2 - aucune fluorescence.
Voir certificat en fin de catalogue.
Frais : 18 % TTC

Adjugé 59 000 €
Par Hôtel des Ventes Montpellier-Languedoc à Montpellier
le 12/12/2020 : Bague en platine, chaton dentelle sertie de diamants taille en rose. Centre saphir de Ceylan, "intense blue" (bleu vif) estimé à environ 31 carats, calibré serti, (dimensions 16.8 x17.3 x 11.4 mm).non traité thermiquement, avec un certificat du LFG. Egrisures à repolir. Travail anglais fin XIXe ou tout début Xxe. Poids brut : 12,1 g.
A VIDEO PRESENTING THE LOT IS AVAILABLE ON DEMAND.
Please email Françoise SERRU bijoux@hdvmontpellier.fr

Adjugé 42 000 €
Par CHATIVESLE MAISON DE VENTES à Reims
le 03/12/2020 : Bague solitaire en or gris 750°/00 sertie d un diamant rond taillé en brillant moderne (dim. 11.49-11.54 x 6.69 mm) pesant 5.39 cts ayant fait l objet d un rapport d analyse du LFG (certificat) mentionnant notamment les caractéristiques suivantes : couleur H, pureté SI1, taille Très bonne, fluorescence Faible. Monture serti illusion, poinçon tête d aigle. Tour de doigt : 55 Poids brut : 6.04 g
Cabinet Anne Pellerin, expert

Adjugé 44 000 €
Par Rossini à Paris
le 02/12/2020 : Collier de perles fines en chute. Le fermoir en or gris 18k (750) et platine orné de diamants taillés en rose.
Accompagné d'un rapport d'analyse du LFG datant du 11/09/20 et indiquant perles fines d'eau de mer / pas d'indication de traitement.
Nombres de perles : 67
Dimensions : de 5.3 à 9.3 mm.
Tour de cou : 52 cm. - Poids brut : 30.53 g.

Adjugé 135 000 €
Par SVV MILLON & ASSOCIES à Paris
le 10/12/2020 : Très rare pendentif présentant une remarquable émeraude naturelle de 11,90 carats taille émeraude d'origine colombienne. Elle est d'un vert saturé lumineux tirant légèrement sur le bleu d'une belle transparence, modérément incluse.
Cette émeraude est surmontée d'un diamant taille poire d'environ 1,01 carat de couleur E et de pureté VVS2, sur une monture en or jaune 18k (750 millièmes).
Dimensions de l'émeraude : env. 15,67 x 12,95 x 8,57 mm.
Scan de couleur de l'émeraude : G70, B15, Y15.
Dimensions du diamant : 8,58 x 5,57 x 3,53 mm.
Poids brut : 6,4 g.
Selon justificatif de certificat HRD de septembre 1999 précisant l'absence de fluorescence pour le diamant
Selon certificat de AGL d'octobre 1999 précisant le grade de couleur 4/80, sa pureté MI2 (modérée), son impregnation mineure A modérée d'huile, et son origine de Colombie

Adjugé 27 500 €
Par Rossini à Paris
le 02/12/2020 : Paire de bracelets ouvrants en or jaune 18K (750) ajouré à motifs de palmettes centrés d'un caméehabillé sur agate deux couches figurant un personnage de profil paré de bijoux et d'une coiffe en argent serti de rubis et de diamants, monté sur argent dans un entourage de diamants de taille ancienne. Fermoir à cliquet et sécurité.
Poinçon tête d'aigle et poinçon de l'atelier Cristofol (Sté C F insculpé en 1966)sur le cliquet d'un des bracelets (partiellement écrasé par la Garantie).
Tour de poignet : 17,5 cm. - Poids brut : 84,05 g.
Provenance probable : Marie-Hélène de Rothschild.