
Estimé 40 000 € - 60 000 €
Par Maison de Ventes Richard - HOTEL DES VENTES DE VILLEFRANCHE à Villefranche-sur-Saône
le 25/06/2022 : 1964 - Jaguar type-E 4.2L coupé
Titre de circulation français
Châssis n°1E30161
Moteur n°7E14045
Carrosserie n°4E20331
- Série la plus désirable, alliant pureté du dessin original et agrément du 4.2L
- Configuration sobre et élégante
- Ensemble des éléments conformes au type 4.2L
- Même propriétaire depuis 28 ans
- Restauration ancienne
- Estimation très attractive
La Jaguar type-E succède à la dernière de la série XK, la 150, à la suite de sa présentation au salon de l'automobile de Genève en mars 1961. Elle reprend la même formule que sa devancière : une ligne épurée, un châssis à la fois sportif et confortable pour l'époque, des performances de premier ordre là aussi pour cette période, le tout pour un tarif presque raisonnable en comparaison de ses concurrentes. Elle est immédiatement saluée comme plus belle voiture du monde par les journalistes spécialisés et par Enzo Ferrari lui-même. Son design fluide et aérodynamique, qui est d'ailleurs le fruit du coup de crayon de l'aérodynamicien Malcom Sayer travaillant avec Sir Williams Lyons, fascine les foules, ainsi que la cinématique d'ouverture de son capot avant, entièrement basculant. La mécanique de 3.8L de cylindrée est alors celle de la XK, une nouvelle fois améliorée pour développer 265 chevaux. Quant au châssis, qui empreinte à la fois à la type C et à la type D de compétition, c'est une structure monocoque centrale avec faux châssis avant en treillis soudé visé, associée à un système de suspensions indépendantes et de freins à disque. La type-E est donc une voiture bien née, capable d'atteindre les 240 km/h de vitesse de pointe, ce qui en faisait la voiture de série la plus rapide du monde. Pour autant elle ne cessera d'évoluer au fil des années pour se perfectionner. C'est ainsi qu'à partir d'octobre 1964 elle motorisée par le bloc moteur réalésé à 4.2L de cylindrée avec une puissance inchangée, mais une plus grande souplesse de fonctionnement grâce à une augmentation du couple maximum. Outre quelques autres améliorations (alternateur, pompes à essences, ventilateur électrique) la type-E 4.2L bénéficie également de la boite de vitesses " maison " synchronisée. Ces perfectionnements conjugués au dessin original, qui sera modifié par la suite, font de la type-E 4.2L la série la plus polyvalente et désirable, pour tout amateur souhaitant profiter agréablement de ce mythe de l'automobile de collection.
Le véhicule présenté est une des toutes premières type-E de cette série, puisqu'il s'agit d'une version 4.2L fabriquée le 19 octobre 1964 et livrée à son premier propriétaire de l'Illinois aux Etats-Unis par Jaguar New York, le 17 novembre de la même année, ainsi que nous l'apprend le certificat Jaguar Heritage. Ce document nous indique également que la couleur bleue qu'elle arbore aujourd'hui correspond bien à la teinte " Opalescent Silver Blue " de sa sortie d'usine. Vraisemblablement importée en France par les " Ateliers Tourquennois " au début des années 1990, c'est ce même établissement qui a assuré la restauration du véhicule avant que notre collectionneur ne s'en porte acquéreur en 1994. La type-E est alors en excellent état de présentation et de fonctionnement, non seulement du fait de cette restauration mais aussi de l'entretien effectué par des spécialistes. Elle prend part à de nombreux rallyes touristiques et manifestations automobiles. Cet exemplaire est même exposé en hommage à la filiation avec la type-E, lors de la présentation du nouveau XK " alu " en première européenne au salon de l'automobile de Lyon en 2005. Puis, quelques années après, petit à petit la voiture est laissée en sommeil, alors qu'elle a 78963 miles au compteur comme on peut le constater encore aujourd'hui. Globalement saine et affichant maintenant une belle patine, notamment au niveau de la sellerie en cuir bleu et alors que certaines garnitures mériteraient un peu d'attention, cette type-E est très attrayante et ne demande qu'à être réveillée. Elle représente un graal de l'automobile ancienne, en l'occurrence accessible pour une fois, alors ne la laisser pas passer car vous ne retrouverez pas de sitôt une telle opportunité.
Les véhicules de la collection sont à l'arrêt total depuis plusieurs années. Ils sont vendus en l'état, sans contrôle technique et devront impérativement bénéficier d'une révision complète avant de pouvoir reprendre la route.
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Estimé 60 000 € - 90 000 €
Par Maison de Ventes Richard - HOTEL DES VENTES DE VILLEFRANCHE à Villefranche-sur-Saône
le 25/06/2022 : 1953 - Jaguar XK120 Drop Head Coupe SE
Titre de circulation français
Châssis n°S677191
Moteur n°W8495-8S
Carrosserie n°P1193
- Modèle cabriolet aussi sportif que le roadster tout en étant plus confortable
- Intéressante version Special Equipement
- Moteur et couleurs d'origine
- Restauration ancienne de grande qualité
- Même propriétaire depuis plus de 22 ans
- Dossier d'historique remontant à 1987
La Jaguar XK120 roadster est présentée au London Motor Show en 1948, seulement deux mois après la création de son châssis et de sa carrosserie. A cette époque, au sortir de la seconde Guerre Mondiale, il y a peu de voitures de sport sur le marché et la plupart de celles existantes ont été conçues avant le conflit. C'est donc la surprise générale quand cette sportive qui semble dessinée par le vent et qui est animée par un nouveau moteur double arbre à cames en tête, développant 160 chevaux, capable d'atteindre les 120 miles (d'où son nom) est dévoilée. D'autant plus que son prix est très compétitif, alors même que son instrumentation est très complète et que l'intérieur est en cuir Connolly. A l'image de son tarif, ses performances sont elles aussi très compétitives et permettent à la XK120 de s'illustrer dans les compétitions les plus prestigieuses. D'abord disponible en roadster, la XK120 est déclinée en Fixed Head Coupe (FHC) en 1951, puis en Drop Head Coupe (DHC) en 1953, sans oublier la version plus sportive baptisée " Special Equipment ", pouvant être associée à n'importe laquelle de ces carrosseries dès 1951. Cette version consistant en une culasse modifiée (appelée type C), des carburateurs SU HD8, un volant moteur allégé, des trains roulants rigidifiés ainsi que des roues fils et des feux longue-portée développe 180 chevaux sur la XK120. Laquelle est remplacée par la XK140 en 1954, qui laisse elle-même sa place en 1957 à la XK150, avant la fin de la génération XK avec l'arrivée de la type-E en 1961.
Le modèle de Jaguar XK sélectionné par notre collectionneur est une désirable XK120 en carrosserie cabriolet (Drop Head Coupe) et version special equipement, avec une culasse plus récente marquée type C, ainsi que le confirme le certificat Jaguar Heritage figurant dans le dossier de la voiture. Sorti d'usine le 13 mai 1953 il a été livré à son premier propriétaire le 4 juin de la même année par le distributeur Hornburg de la marque à Los Angeles. En tant que véhicule d'origine américaine il s'agit de l'un des 1472 exemplaires de XK120 cabriolets en conduite à gauche produits entre 1953 et 1954 seulement. Après avoir débuté sa vie outre Atlantique, ce superbe cabriolet est en région lyonnaise dès 1987 d'après les éléments du dossier. Le propriétaire actuel le rachète à une bonne connaissance en 1999. Comme toujours, soucieux d'avoir une voiture en parfait état qu'il peut utiliser sans arrière-pensée, notre collectionneur fait entièrement restaurer la voiture, mais toujours en respectant la configuration d'origine. Les travaux de carrosserie sont confiés aux établissements Ronalcar à Villeurbanne, qui effectuent un travail remarquable, puisqu'une vingtaine d'années après le résultat est toujours aussi satisfaisant. Ce d'autant plus que la voiture, qui affiche 24012 km au compteur, a participé à de nombreux rallyes touristiques. La qualité de sa restauration lui a également permis de participer à quelques expositions, comme le salon du cabriolet 2002 à Paris ou le Salon Epoqu'Auto à Lyon. De couleur " Birch Grey " avec intérieur cuir rouge et capote noire, la présentation de cette XK120 cabriolet, conforme à l'origine, est extrêmement séduisante et son couvre capote noir permet de parfaire son allure.
Alliant la puissance de la version SE et le confort ainsi que la rareté de la carrosserie cabriolet par rapport au roadster ou l'agrément par rapport au coupé, cette XK120 aux solides arguments par ailleurs a vraiment tout pour plaire.
Les véhicules de la collection sont à l'arrêt total depuis plusieurs années. Ils sont vendus en l'état, sans contrôle technique et devront impérativement bénéficier d'une révision complète avant de pouvoir reprendre la route.
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Estimé 20 000 € - 30 000 €
Par Maison de Ventes Richard - HOTEL DES VENTES DE VILLEFRANCHE à Villefranche-sur-Saône
le 25/06/2022 : 1938 - SS Jaguar 1,5 Litre
Titre de circulation français
Châssis n°56042
Moteur n°K431E
Carrosserie n°1701
- Première voiture " Jaguar ", véritable pièce d'histoire automobile
- Modèle 1938 plus évolué que les précédents
- Rare version toit et pare-brise ouvrants
- Véhicule d'origine anglaise
- Déjà restauré dans le passé
- Même propriétaire depuis plus de 26 ans
Après diverses expérimentations, c'est à partir de 1931 que la marque " SS " pour " Swallow Sidecar and Coachbuilding Company ", jusque-là fabricant de side-cars et carrossier devient véritablement constructeur automobile, en créant son propre type de voiture : la SS1. Le châssis est en fait construit par Standard selon les spécifications SS. Les différentes carrosseries de SS1 sont à la fois sportives et élégantes et les voitures sont vendues à des prix compétitifs. Le succès est important et William Lyons décide alors de créer une nouvelle entreprise dédiée à la construction automobile : la SS Cars Limited. Il décide également de développer une gamme de voitures, certaines de sport et d'autres des berlines et cabriolet à prétentions sportives de 1,5 litre à 3,5 litres, dont le rapport qualité, prix et prestige procurèrent vite notoriété et reconnaissance à la jeune marque. C'est ainsi que le nom de Jaguar fut utilisé pour la première fois comme nom de modèle en septembre 1935, pour désigner la SS Jaguar 1 ½ Litre. Disponible à la fois en berline (Saloon) 4 portes et en cabriolet (Drop Head coupé) 2 portes, il s'agit d'une voiture raffinée, avec des prestations haut de gamme et des performances significatives pour un prix attractif. Sa fabrication évolue très rapidement dès 1937, en abandonnant le bois au profit du tout acier, mais la carrosserie sera toujours montée sur châssis séparé. La cylindrée du petit 4 cylindres 1,5 litre passe elle de 1608 cm3 à 1776 cm3 et abandonne les soupapes latérales au profit de soupapes en tête, tandis qu'un six cylindres 3,5L est également proposé en plus du 2,5L déjà disponible dès le début.
D'après le Jaguar Heritage présent au dossier, la fabrication de la SS Jaguar 1,5 Litre de la collection a été achevée le 5 juillet 1938 et la voiture livrée dans la foulée, le 7 juillet 1938, par le distributeur londonnien " Henlys Limited " à son premier propriétaire. En tant que modèle de l'année 1938, il s'agit d'une voiture à carrosserie acier, disposant du moteur à soupapes en tête (OVH). En plus de l'équipement déjà très complet pour l'époque sur cette berline de grande classe, cet exemplaire dispose du grand toit ouvrant panoramique et du pare-brise à entrebâillement, ainsi que de la couverture en vinyle noir du toit d'origine, ce qui renforce son allure racée. Après l'Angleterre, le véhicule est passé par le sud de la France au milieu des années 1980, puis par le sud-ouest pendant une dizaine d'années avant que notre collectionneur n'en fasse l'acquisition en décembre 1995, lors d'une vente aux enchères publiques, dont il a conservé tous les documents présents au dossier. La voiture était alors décrite comme " berline restaurée en bel état de présentation, mais moteur à revoir ". Notre collectionneur a donc fait procéder aux réparations mécaniques qui s'imposaient par un spécialiste lyonnais. Par la suite il a effectué différentes opérations de maintenance. Il n'est pas intervenu sur l'esthétique de la voiture qui était satisfaisant, arborant une couleur crème avec des ailes noires en rappel du toit vinyle, mariés à un intérieur cuir beige. Aujourd'hui, avec 7052 miles au compteur, l'ensemble affiche une patine homogène, qui séduira les amateurs avertis, sachant apprécier à la fois l'intérêt historique du modèle, sa rareté et la qualité de cet exemplaire aux nombreux atouts.
Les véhicules de la collection sont à l'arrêt total depuis plusieurs années. Ils sont vendus en l'état, sans contrôle technique et devront impérativement bénéficier d'une révision complète avant de pouvoir reprendre la route.
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Estimé 8 000 € - 12 000 €
Par Maison de Ventes Richard - HOTEL DES VENTES DE VILLEFRANCHE à Villefranche-sur-Saône
le 25/06/2022 : 1962 - Jaguar Mark X 3.8L Automatic
Titre de circulation français
Châssis n°351767 BW
Moteur n°ZA4581-8
Carrosserie n°Z004434
- Summun des berlines Jaguar des années 1960
- Appréciable boîte de vitesses automatique
- Voiture française d'origine (Delecroix)
- Configuration conforme à sa sortie d'usine
- Même propriétaire depuis plus de 30 ans
- Nombreuses factures de restaurations
Au regard de ses dimensions et de son luxe, il ne fait aucun doute que la Jaguar Mark X a été pensée avant tout pour le marché nord américain. A son lancement en octobre 1961, ce qui frappe aussi c'est son avance technologique par rapport aux autres berlines Jaguar produites jusqu'à cette époque. Effectivement, elle est non seulement dotée d'une suspension arrière indépendante, similaire à celle de la type-E, c'est-à-dire d'un train roulant de voiture de sport, mais également du même moteur 6 cylindres de 3,8L de cylindrée qui a fait ses preuves, développant 265 chevaux à l'aide de la culasse " straight port " et de trois gros carburateurs SU. De telle sorte que la Mark X, bien qu'affichant près de deux tonnes sur la balance, est une voiture assez performante. L'intérieur, particulièrement vaste, est à la fois soigné et confortable avec du cuir et des boiseries à profusion. La voiture est très bien équipée. D'ailleurs la Mark X était dotée de série de la direction assistée, bien utile pour manoeuvrer cette imposante berline, ainsi que d'une assistance au freinage.
La voiture proposée est l'une des rares exemplaires à avoir été délivré neuf en France. Sortie des chaines de production le 15 novembre 1962, ainsi que l'atteste le certificat Jaguar Heritage présent au dossier, elle a ensuite été livrée à son premier propriétaire, un résidant de Rueil-Malmaison le 23 novembre de la même année, par les établissements Delecroix, importateur distributeur de la marque en France. De couleur " sherwood green " mariée à un intérieur cuir beige la présentation de la voiture, identique à celle qu'elle arbore encore aujourd'hui, est aussi élégante que classique sur ce modèle. Quant à la mécanique, elle est accouplée à la boîte de vitesses automatique Borg Warner 3 rapports, plus agréable que la boite manuelle Moss sur cette voiture, car privilégiant l'agrément de conduite à la performance et ainsi plus en phase avec son esprit " pullman ". Notre collectionneur se porte acquéreur de cette berline statutaire en 1992. La voiture a alors conservé tous ses éléments d'origine, que son nouveau propriétaire, collectionneur averti, s'attache à préserver en dépit des travaux réalisés auprès de spécialistes. La mécanique est ainsi refaite, la carrosserie repeinte dans sa couleur d'origine et les moquettes changées. La sellerie est en revanche conservée en l'état. Ce qui lui procure aujourd'hui une belle patine malgré une déchirure sur le siège conducteur et quelques craquelures sur les autres assises. De multiples interventions ont suivi ces travaux au fil de l'utilisation de la voiture. Laquelle a la porte arrière droite légèrement enfoncée suite à une mauvaise manoeuvre de notre collectionneur il y a quelques années dans son garage. Néanmoins, cette Mark X Automatic, qui affiche 96696 km au compteur, très probablement d'origine, est en bel état de présentation général du fait de toute l'attention dont elle a fait l'objet dans le passé. Elle séduira sans aucun doute les amateurs de ce fleuron des berlines Jaguar des années 60, qui aurait pu revendiquer le titre de " plus belle berline du monde " au même titre que son héritière la XJ6.
Les véhicules de la collection sont à l'arrêt total depuis plusieurs années. Ils sont vendus en l'état, sans contrôle technique et devront impérativement bénéficier d'une révision complète avant de pouvoir reprendre la route.
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Estimé 60 000 € - 80 000 €
Par Maison de Ventes Richard - HOTEL DES VENTES DE VILLEFRANCHE à Villefranche-sur-Saône
le 25/06/2022 : 1965 - Alfa Romeo Giulia Spider
Titre de circulation français
Châssis n°AR*379185
Moteur n°AR00112*14754
- Ligne signée Pinin Farina, incarnation du spider à l'italienne
- Fameuse mécanique " double arbre " avec boite de vitesses synchronisée
- Travaux esthétiques et mécaniques entre 2018 et 2021
- Présentation classique et séduisante
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Estimé 15 000 € - 20 000 €
Par Maison de Ventes Richard - HOTEL DES VENTES DE VILLEFRANCHE à Villefranche-sur-Saône
le 25/06/2022 : 1968 HONDA S 800 COUPE
Carte grise française
Châssis n° : 1006040
Moteur n° : AS800E-100778
. Un véritable jouet pour adulte
. Un moteur au tempérament de machine de course
. Ligne sportive, finition de qualité
La première automobile portant le nom de Soichiro Honda fut présentée au Salon Automobile de Tokyo en 1961 alors que la firme montait très haut au firmament de la compétition motocycliste et annonçait sa participation aux Grands Prix de F1. Les premiers cabriolets sport avaient un moteur de 360 cm3 seulement dont la cylindrée passa rapidement à 500 puis 600 cm3 et enfin 791 cm3 en 1966 pour le marché français. Son moteur, à l'effarant rendement pour l'époque (près de 100 ch au litre de cylindrée) avec une zone rouge de compte-tour commençant à 8500 tr/mn, devait beaucoup à l'architecture motocycliste dont Honda était le meilleur spécialiste pour les moteurs quatre temps. De nos jours la Honda S 800 reste un jouet fabuleux, à la carrosserie amusante et compacte, et à la mécanique d'horlogerie. Construit à 3563 exemplaires seulement, coupés et cabriolets confondus.
La voiture présentée est dans la même famille depuis vingt ans. Le moteur a été refait en 2006 par le spécialiste du modèle, Michel Vampé. Un échappement en inox sur mesure a été réalisé et le radiateur refait. Quatre pneus Michelin ont été montés et elle n'a parcouru que 1000 km depuis ces travaux. Elle se présente dans un bon jus d'origine mais nécessite l'attention d'un amateur.
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